La taverne d’Hylst

Soyez les bienvenus dans la taverne d’Hylst !

Oyez le crieur public qui braye devant mon modeste établissement :

« Damoiselles, Damoiseaux, venez donc vous attabler, discuter, vous restaurer à la taverne d’Hylst ! »
« Menus exotiques, boissons en tous genre, musique d’ambiance, et divertissements y sont proposés ! »
« N’oubliez pas de consulter les règles d’établissement ! »

Il vous tend alors le phylactère que vous déroulez et sur lequel vous pouvez lire :

Note aux clients :
  Déclinez une identité imaginaire ou réelle à votre gré,
  l’endroit n’a pour décor que ce que l’imaginaire commun décrira.
  Vous pouvez vous y défoulez un peu, à condition toutefois de ne pas tout casser !
  Demandez Hylst pour passer commande, pour le menu, pour renseignements, ou autres raisons.   Gare aux Mauvais payeurs !
  Hylst est un être draconique camouflé par une puissante illusion lorsqu’il reste dans cette auberge.*
  Payez votre du est possible en monnaie sonnante et trébuchante, ou bien en laissant au maître de maison de poétiques ou simplement; touchantes attentions 🙂
  Cette taverne est un jeu de rôle, vous l’aurez compris ;o)
 *

Dragons, elfes, fées, Anges ou démons, lutins, rats cornus, licornes, papillons ou simples humains,
Allez vous entrer ?

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Un peu de musique pendant votre séjour dans la taverne ?

166 réflexions au sujet de “La taverne d’Hylst”

  1. Ah Sieur Hylst, bonjour, je suis astre lumineux et je viens ici prendre quelque repos et me sustenter! Je viens d’une contrée lointaine…

    (Phérine)

    Répondre
  2. * tourne la tête vers toi et prend un air ravi *

    Oh ! Soyez la bienvenue Astre lumineux 🙂
    Vous êtes la 1ère personne à inaugurer mon modeste établissement.
    Le fait que vous veniez d’une contrée lointaine est pour moi flatteur,
    je vous en prie, prenez place, venez donc au comptoir, qu’est ce que je vous sers ?

    * avant même que tu n’aies le temps de répondre *
    * Tu peux voir la(les) salle(s) suivantes à cet étage *

    Celà ne fait que quelques jours que j’ai achevé la construction de cette auberge.
    Voilà déjà quelques mois que j’y travaillais.
    J’ai investi une somme rondelette dans sa construction.
    Ce n’est pas les travailleurs locaux qui y ont trouvé emploi qui s’en plaindront 🙂
    Il y a 4 étages sous terrains dans cette auberge… mais…
    le service d’abord, que puis donc vous servir ?

    * description à venir *

    (tavernier)

    Répondre
  3. je me nomme Litiaée, je suis une elfe de la foret noire (la foret noire est au nord de la terre du milieu [nan je copie pas sur tolkien, lol!!]) de passage dans cette contrée et désirai du lambas (pain elfique), un peu d’eau et une chambre pour quelques nuits tout au plus… *me dirige sans bruit et avec cette démarche pleine de grâce propre à mon peuple (vi! je c!! suis pas très modeste là) vers la table la plus en retrait, pose mon carquois et mes flèches. mon long manteau sombre tombant jusqu’à mes pieds, pourvu d’une large capuche ombrant la majeure partie de mon visage, me fait ressembler à un rôdeur. ceux-ci étant assez nombreux dans la région, cela évite de trop me faire remarquer. mais que fait un elfe, songes-tu alors, dans une auberge? ils sont pourtant sensé vivre dans la nature… mais alors que tu t’apprête à me poser la question, comme si j’avais lu dans tes pensées, je murmure avec fougue* je vous serai gré, aubergiste, d’éviter de me poser trop de questions… *mon regard flamboyant se pose sur toi et tu te ravise aussitôt*

    (Elisa)

    Répondre
  4. * Agréablement surpris par une autre personne qui franchi alors la porte de mon auberge *

    Enchanté, je me prénomme Hylst, pour vous servir en ma demeure.
    Soyez tranquille, je ne vous harcèlerez pas de questions 😉
    Oh… une elfe en effet, je vois ça à la pureté de vos trait et de votre peau,
    pour le peu que j’en vois étant donné que votre capuche fait ombre 🙂

    Je connais un peu les terres du milieu, un ami m’en a déjà parlé jadis…

    Du lambas… du lambas.. ah, oui, je sais, et de l’eau donc ?
    Je reviens…

    * ouvre la porte de derrière le comptoir, reste absecent moins d’une minute, puis revient *
    * te tend sur un plateau d’un bois pouvant s’apparenter à de l’eucaliptus, un verre de bois *
    * et un petit bout de ce pain qui même en petite quantité, suffit à satisfaire de grandes faims *
    * Te tend également un petit cruchon d’eau à ce ci près… que seuls l’ance et l’eau contenue dans cette cruche… *
    * …invisible, est visible justement *

    Voici pour vous Litiaée.
    Mais prenez donc une place !
    * t’indique un tabouret au comptoir, à côté de l’Astre lumineux *

    En ce qui concerne la chambre,
    l’étage supérieur des chambres n’est pas fini d’être construit, je le regrette.
    Elle le sera dans un jour ou deux.
    Je ne fait donc que le service de la faim de la soif pour aujourd’hui 🙂

    (tavernier)

    Répondre
  5. *elle m’a l’air sypathique, je monte sur ses genoux*
    miawww je me nomme aladiah du nom de mon ange gardien, et je me suis réfugiée ici, chez hylst, quand il m’a trouvée à demi morte après l’attaque que moi et mon ancien ami avons subit.
    mon ami était un nain magnifique, très petit et aussi très fort! et moi j’étais une humaine très grande, et nous nous aimions très fort… mais après l’attaque de ces gens masqués, ils l’enlevèrent et me changèrent en chat, mais comme ils n’étaient pas si méchants ils me laissèrent la parole… et je ne sais toujours pas pourquoi ils m’ont enlevé mon amour, ni qui ils étaient…. miaowwww mais je vais vous lasser avec mon histoire, c’était il y a longtemps de tout facon… maowww gratte moi entre les oreille roooroonnroorrrrooorrrrroooorrrooo

    (ultra-mi)

    Répondre
  6. *te gratte entre les oreille* triste histoire… seule, je n’ai malheureusement pas le pouvoir de te rendre ta forme originelle mais je peux apaiser ton coeur… *je murmure de douces paroles que tu ne comprends pas et aussitôt tu sent une partie de ta tristesse te quitter*

    (elisa)

    Répondre
  7. *descendant du grenier*

    maowwww je suis le chat qui parle, et je dors ici, grâce à mon maitre qui me nourrit si noblement… je vais d’ailleurs lui quémander quelques souris fondues au fromage… mawww … je predit aussi l’avenir, et jette des sorts, pour qui sait me gratter comme il faut entre les deux oreilles… mawwwwww

    (ultra-mi)

    Répondre
  8. * Voyant Litiaée caressant un animal, me pence et aperçois Miawwww *

    Ah, tu es là toi 😉
    J’ai une soupe de souris aux délicieux fromages de la cité de Soriund qui t’attend si tu le souhaites 🙂

    [Ma description toutefois, c’est le minimum pour un tenancier présent en tout instant dans sa taverne quand il ya du monde]

    * Un humain apparemment, si ce n’est quelques détails… Un humain d’un bon mètre et quelques 70 cm plus ou moins grand suivant ses pas… *
    * il a la jambe droite un peu plus courte que l’autre et boite un peu. Parait une bonne 40 aine d’années humaines bien tassées *
    * les cheveux un peu bouffis, une barbe déjà fort généreuse dans laquelle il marmonne souvent des propos des plusibyllins pour ceux qui tenteraient d’y prêter l’oreille *
    * Les traits du visage assez carrés, un long nez aquilin dont une narine semble avoir connu une bien ciselante douleur… *
    * De corpulence génereuse, légèrement vouté *
    * Il porte un pantalon de soie doublée d’une sorte de laine très fine, ainsi qu’une chemise brune *
    * et un gilet de cuir précieusement tanné, renforcé, et décoré par divers motifs *
    * au niveau de la taille, des épaules, et des manches. Par dessus cette chemise, *
    * un large tablier probablement vert à l’origine, qui à présent est déjà quelque peu maculé de diverses taches, *
    * mais qui au demeurant semble avoir été lavé assez récemment *
    * il porte une lourde ceinture noire, qui retient un peu sa bedaine naissante, et à laquelle sont accrochés 2 chiffons, une bourse, *
    * un petit flacon bandé de liège, et un curieux objet métallique et mécanique semblant comportant une sorte de lame, *
    * un genre de tige hélicoïdale pointue, une cuillère, un pic et autres gadgets… *
    * J’irradie une chaleur plus qu’humaine, reposante, confortante *
    * Je dégage les fragrances mêlées de divres épices de cuisine, ainsi qu’un soupçon de transpiration pour la forme 🙂 *
    * mes yeux sont… et bien… il change souvent de couleur à vrai dire… une sort de plasma qui s’y déplace, comme animés… *
    * un regard assez prenant pour qui y fait attention *

    (tavernier)

    Répondre
  9. La porte est ouverte à nouveau. L’homme qu’elle révèle se baisse instinctivement pour franchir le seuil de la porte. Il est complètement trempé et très grand, près de 7 pieds de haut sans doute. Après avoir refermé la porte, il reste plus d’une minute près de la porte, tandis que l’eau ruisselle de sa longue chevelure rousse et de sa barbe tressée. Quand l’eau a cessé de couler, une vraie flaque s’est fromée à ses pieds.

    Tandis qu’il traverse l’auberge à grandes enjambées pour rejoindre l’âtre, vous avez le loisir de l’observer plus en détail. L’homme est de large carrure, ses bras, même cachés par les manches d’un épais gilet de cuir, sont de toute évidence très puissants, et ses mains épaisses et poilues semblent concues pour transmettre sans dommage toute cette puissance. Au dessus de l’épaule gauche dépasse l’énorme garde d’une épée presque aussi grande que son porteur, pour l’instant attachée dans le dos de celui-ci.

    Le colosse est arrivé au pied de l’âtre, il se défait péniblement de son épée sous un plafond trop bas pour cela et s’assoit en faisant grincer effroyablement le cuir de son pantalon. Un tapotement rythmique sur le toit vous indique que la pluie reprend tandis qu’il se déchausse lentement de ses bottes de fourrure.

    « Cette auberrge est une vrraie bénédiction pourr mes vieux os détrrempés, et la vue de si charrmantes hôtes rravit mes yeux. » Sous l’effet de la chaleur du feu, de la vapeur se dégage de ses vêtements en train de sècher. « Auberrrrgiste, aurriez-vous donc quelque chose pourr achever de me rréchauffer ? »

    La pluie a doublé d’intensité et s’abat maintenant en torrents impitoyables sur le toit de la pauvre auberge, qui protège vaillamment ses occupants.

    (Llörwyn)

    Répondre
  10. *incline respectueusement la tête lorsque tu m’apporte le plateau* je vous remercie… *le temps passe et personne ne dit mot… on n’entend que le crépitement du feu et le bruit de la pluie qui s’abbat ragesement sur le toit… soudain je m’exclame d’une voie faible mais claire* le chant de la pluie m’annonce de mauvais présages. le futur sera placé sous de funeste augures… *puis sans prévenir, ayant sans doute jugé que personne dans cette auberge ne représentait vraiment un danger, j’enlève ma capuche et libère mes cheveux qui retombent en longues cascades noires sur mes épaules* *m’adressant à Liörwyn* belle épée, seigneur. forgée par les nains, je me trompe?

    (Litiaée = Elisa)

    Répondre
  11. > Liörwyn :

    * Te voyant ainsi trempé, grince des dents pour son parquet, mais bon, il est bien ciré d’une cire enchantée qui élimine la poussière et semble fort hérmétique et solide *
    * Te regarde traverser la salle et te diriger vers l’âtre *

    Bien entendu, je peux vous servir un vin chaud au miel, avec un soupçon de canelle et de pomme.

    * se baisse sous le comptoir, une vive lumière en jailli,et me relève avec dans mes mains un large demi bambou
    plein presque à raz bord d’un vin laissant échapper d’agréables volutes de vapeurs parfumées *
    * me dirige vers toi et te le tend *

    * La pluie tambourrine allègrement, mais le bruit est bien étouffé *

    > Litiaée :

    * t’observe à visage découvert, te sourie * A votre service Litiaée 🙂

    * Retourne au comptoir *

    > Tous :

    Et bien ! Trois personnes fort singulières pour inaugurer mon auberge ! 🙂
    Je n’en aurais espéré tant ! 🙂

    Pour ceux qui le souhaiteraient, je puis leur faire couler un bain.
    Divers parfums et herbes pourront l’agrémenter à votre guise.

    * Sors par la porte de derrière, revient avec du pain et du jambon sur un plateau *
    * Tranche le pain et le jambon pour les disposer à l’attentions de tous ceux qui voudraient en grignotter *

    Voici pour ceux qui le souhaiterait un fort modeste buffet, mais offert par la maison 🙂

    (tavernier)

    Répondre
  12. La chaleur d’un feu et d’une bonne compagnie
    * Prend le vin, le hume longuement en fermant les yeux. *

    Maîtrrre Hylst, il est bien rregrettable que j’aie du vivrre si vieux avant de rencontrrer une Auberrge telle que la votrre. Des gens qu’on y trrouve et des mets qu’on y sert, impossible de dire qui est le plus exquis. Mesdames Astrre Lumineux et Litiaée, me permettrrez-vous de me joindrre à votrre tablée ?

    * Porte un toast. Les yeux verts de Llörwyn brillent de plaisir. *

    Le chat sur vos genoux est bien charrmant. Je me demande si la pire malédiction est d’êtrre changé en chat, ou d’êtrre un homme… *Se redresse, l’air de se resaisir* Concerrrnant mon épée, vous faîtes honneurr à la légendaire perrspicacité de votrre peuple. Elle fut offerrte à mon grrand-père par les nains, forrgée pourr changer le courrs de grrrandes batailles. Moi, simple trrappeur, j’en suis bien indigne, et pourrtant je loue le ciel qu’elle n’ait pas souvent répandu le sang parr ma main. J’espèrre que vous vous trrrompez concerrnant le mauvais temps, mais vous ne me laissez pas beaucoup d’espoirrr… D’habitude, je quitte mes montages pourrr la saison frroide, mais cette année les intempérries m’on chassé bien trrrop tôt. Je n’ai pas vu un coin de ciel bleu depuis deux semaines, et ma rroute a été pénible, bien pénible…

    Heurreusement que le sort et la sagacité de maïtrre Hylst ont mis ce Havrre surr mon chemin. J’envisage d’ailleurrrs de rrester en ce village jusqu’au prrintemps, carr il y a encore plusieurrs lieues jusqu’à la ville sous ce rrrude ciel. Si bien sûrr je trrrouve du trravail ici. J’ai rrramené de belles choses de là-haut, mais cela ne suffirrrra pas pourr l’hiverr.

    (Llörwyn)

    Répondre
  13. je suis une elfe de passage…on me nome ptite Elfe, je suis une elfe à part, j’ai perdue la mémoire, je suis en quête de moi.Puis-je me reposer ici?

    car j’arrive d’un long périple.

    (Elfe en moi)

    Répondre
  14. *après avoir dégusté ma soupe de souris, je t’aperçois et viens près de toi* maoww encore une jolie elfe… sait tu que je sais le passé, le présent et l’avenir? je pourrai tout te dire si l’on m’apporte l’herbe de chimères, qui se trouve au fond d’une abime que seul mon amour disparu connais…
    maowwwwww

    ( Aladiah – chat -ultra-mi )

    Répondre
  15. pas facile parfois d’ouvrir les yeux sur son passé, quelques brides me reviennent dans mes rêves.Et puis s’il faut partir en quête de ton herbe, cela peut-être dangereux et en aucun cas je ne voudrais mettre une vie en péril.

    *je m’éloigne de ultra mimi et va en direction du bar*

    (elfe en moi)

    Répondre
  16. > Ptite elfe :

    * souriant à une autre nouvelle venue *

    Soyez la bienvenue ! Pour vous reposer, le temps que les chambres aux étages supérieures soinet construite,
    je n’ai qu’un dortoir à l’étage du dessous à vous proposer.
    S’il n’est pas éclairé par la lumière extérieur, il y fait bon chaud, les lits sont confortables, et les draps agréables.
    Quant à la lumière, elle est d’une lueur bleueâtre diffuse
    Elle peut être intensifiée ou d’atténuée simplement en y pensant :
    Des lucioles gardiennes de la Mtendah ont établi domicile ici, pour votre plaisir et votre lumière en ces dortoirs 🙂

    En attendant, que puis je vous servir ?

    Alors comme ça vous arrivez d’un long périple.. D’où venez vous donc ?

    (Tavernier)

    Répondre
  17. je suis partie de Thalmen ,le desert, au pied des monts du Milcar.Mes souvenir partent de là, je fus recueillis par le célèbre magicien qui a fuit la cité perdue.* je n’aurais pas du lui dire son nom se dit-elle* Il m’a recueilli et redonné de la force, il m’a appris le combat et le tir à l’arc et plein d’autre choses qu’il serait trop long à vous raconter.*Montre son arc d’argent signe de la puissance d’une elfe, en pensant ainsi on saura que je sais me défendre.*J’ai décidée qu’il était temps pour moi de découvrir mon passé et mon avenir, ma route ma conduit jusqu’à vous.

    Je vais prendre un lit au dortoir,j’en suis ravie.Je prendrais bien un verre d’hydromel.Merci.

    (P’tite Elfe – en moi)

    Répondre
  18. à en juger par tes ailes, tu est une elfes des cieux… nous autre elfes des bois en sommes dépourvus… si tu veux retrouver ton passé, cherche donc du côté de la pâle citée d’Hokönor, demeure de tout les tiens… * me tournant vers Hylst* je prendrai aussi une chambre au dortoir.

    (Litiaée = Elisa)

    Répondre
  19. [De Elfe-en-moi]

    Soit deux chambres au dortoir, c’est entendu.

    Pour vous aussi Astre lumineux ?
    Et vous cher Llörwyn qui me comblez de vos compliments qui me touchent, moi et mon auberge,
    désirez vous également un lit au dortoir, que je le fasse apprêter ?

    Je vous promet que dans un ou deux jours vous pourrez dormir dans des chambres particulières aux étages, mais pour aujourd’hui…
    je n’ai vraiment que ces dortoirs à vous proposer, vous m’en voyez désolé.
    Des invités si singuliers… j’aurais aimé vous apporter plus de confort et surtout plus d’intimité que celle de ces dortoirs.

    * tend souriant avec une grâce théatrale un verre d’Hydromel à ‘tite Elfe’ *

    Voici pour vous 🙂 J’espère que son gout saura vous ravir 🙂

    Répondre
  20. merci gentil tavernier,*le feu me monte aux joues, je baisse les yeux* hummm il y délicieux cet hydromel, je vais m’installer à une table auriez vous un reste de repas à me proposer, je crois que mon ventre crie famine..*je m’évanouit aussitôt*.

    (Elfe en moi)

    Répondre
  21. > A ptite Elfe :

    Mais bien entendu, j’ai même bien plus que celà si vous le souhaitez.
    En attendant, j’offre gracieusement un peu de pain et du bon jambon d’Os à qui le souhaite

    * te désigne un plateau copieusement garni du dit jambon et pain *

    > A tous :

    Vous m’excuserez instant, je vais faire préparer vos lits.
    Quand à la toilette, qui veut prendre un bain parmi vous que je sache quelle quantité d’eau faire chauffer ?

    (Tavernier)

    Répondre
  22. > Tite Elfe :

    Ho ! * voyant Tite Elfe s’évanouir *
    Hey ! M’selle l’Elfe, que vous arrive t il ?!
    Quelqu’un ? * dis je en interrogeant du regard un peu apeuré les convives de mon auberge *
    Que lui arrive il ?! J’espère que ce n’est que de l’épuisement ?!

    (Tavernier)

    Répondre
  23. L’histoire continue
    > à Hylst

    J’accepterrais volontiers un lit au dorrtoir, si je ne crraignais d’imporrtuner les dames parr ma prrésence. Pourrtant, je serais heureux si vous me perrmettiez de jeter ma paillasse quelque parrt sous votrre toit. Concerrnant le bain, j’en aurais grrrand besoin. Ce serait dommage de rrefuser le contact avec de l’eau chaude, pourr une fois.

    * Llörwyn éclate d’un grand rire, qui fait tressauter ses épaules *

    Mais avant d’accepter tout cela, voyons si je peux vous payer, maïtrre Hylst : je n’ai pas beaucoup d’arrgent.

    > au moment ou Ptite Elfe fait un malaise

    Vite, il faut fairrre quelque chose !

    * Il détache une petite fiole de sa ceinture, et en verse un liquide brun assez épais qu’il répand sur ses mains. Il frictionne énergiquement le visage de l’elfe évanouie *

    C’est un ami drruide qui m’en a offert. Si son mal n’est pas magique, elle devrrait rrevenir à elle rrapidement.

    (Llörwyn)

    Répondre
  24. mais que m’arrive-t-il? c’est grâce à vous que je me retrouve parmi vous? *regardant zen*
    je suis désolée de vous avoir inquiéter, cela ne m’arrive jamais, je crois que la fatigue et le peu de nourriture m’ont fait défaillir.*en voyant le jambon* il faudrait que je mange un peu , puis je prendrais congé de vous pour me reposer .*hylst et Llörwyn m’aide à me relever*

    (Elfe)

    Répondre
  25. > Tite Elfe

    * t’aide avec Llörwyn à rejoindre une chaise parmi les plus confortable de l’auberge *
    * pius va te chercher pain et jambon
    * file en cuisine en un clair, et t’apporte un liquide épais, et te le tends : *

    Si vous le souhaitez, ceci vous remettra sur pied en un clin d’oeil.

    A présent, je vais faire préparer vos lits au dortoirs, si vous voulez bien m’excuser quelques instants,
    je reviens très vite.

    > Llörwyn :

    * te souffle à l’oreille en passant *

    Ne vous souciez pas d’argent, vous ne me devez rien, je vous remercie bcp d’être intervenu.

    * file et sors par la porte derrière le comptoir *

    (Tavernier)

    Répondre
  26. *installer à la table mangeant* hummmmmmmmmmmmmmm c’est délicieux, * s’adressant aux clients* c’est une auberge délicieuse, vous venez içi souvent?
    – je crois que je vais m’installer içi quelque temps, le tavernier est très mignon*rougis* et gentil.

    *en moi même Répondre

  27. [Intervention de Ode]

    La porte s’ouvre et les fenêtres claquent, les torches se font souffler par l’appelle d’air et le feu vacillent dans sont âtre les lucioles de la salle voisine diffuse une faible lumière.

    Le vent s’arrête porte et fenêtres se ferment bruyamment et le calme revient.

    A la table la plus au font par rapport à la porte est assis un être de forme humanoïde recouvert d’un long manteau et d’une cape d’ont la capuche recouvre sont visage.

    -Tu me reconnais Hylst, pour les autres je me présente je m’appel Ode je suis une sorte de magicien et il y a 10.500 ans j’ai apri a Hylst quelque petit tour de passe passe, mais le pouvoir ne l’intéressai pas il voulait voyagé trouvé un endroit s’impa et ouvrir une taverne il voulait des amis plus que des clients je l’ai suivi de loin tout au long de s’ai périple, il a acquis de nouveau pouvoir, je l’ai vue claqué des doit pour construire cette maison si vous monté au premier vous veré les mure se monté tout seul et les meubles s’assemblé comme par magie mais suige bête c’est de la magie.

    Aller paye un verre a ton vieux mentor.

    Il relève sa cagoule et vous découvrez un crane d’on les orbites diffusent une lumière rouge.

    Répondre
  28. > Ode

    * t’aperçois * * regard très interrogateur, confus, mêlé de surprise… *
    * est ce bien lui ?!… depuis tout ce temps ?! Ces yeux… ça…*
    * ça ne peut être que lui… *

    M… Mai… Maitre Ode ?!
    Est ce bien toi ?!!
    Je … après tout ce temps !!

    * yeux grands ouverts, en laisse tomber une chopine que je m’apprêtais à servir *

    (Tavernier)

    Répondre
  29. La chope qui tombe lévite jusqu’à ma main.

    -Merci noble tavernier!
    Je porte le verre à ses lèvres
    – Humm Fameux! Au fait? (je lance à Hylst une bourse de cuir). Fais des boulettes pour ton chat avec cette poudre elle a des effets étonnants sur les êtres transformés…
    Se tournant vers Aladiah
    -Ton ami, le nain, dernier de la famille des rois des mines, de Mogias a été enlevé pour une rançon de plusieurs milliers de lingots d’electrome, à ce que je sâche sa famille a refusé de payer et trois de ses frères sont partis à sa recherche pour le libérer. Ils errent dans les environs, peut-être passeront-ils un jour ou l’autre.
    Se tournant vers Astre Lumineux
    -Je te sens bien silencieuse, vu la couleur de ta peau aussi sombre que le plumage d’un corbeau, tes yeux violets, et tes cheveux blancs, cela faisait longtempt que je n’avais pas vu un membre de ton espèce il faut dire que les elfes vous mènent la vie dure, si tu es ici c’est que tu dois avoir un énorme pouvoir en toi, tu as déja le pouvoir de te cacher de tes ennemis héréditaires.
    je reconnais le coté discret des elfes noirs, tu dois être fière de ne pas avoir été reconnue par une si illustre assemblée!
    Se tournant vers Liôrwyn
    -Toi noble trappeur, l’épée que tu portes est plus importante que tu ne le crois, car elle a eu une vie propre avant de devenir une arme intelligente. Tu as en ta possession Nelwyn la Faucheuse connue pour soigner les blessures de son porteur pendant les combats. Il parait aussi qu’elle rendrait un agneau aussi fort et féroce qu’un loup s’il l’avait dans ses mains.
    A tous :
    -Ce n’est pas le hasard qui nous a réuni en ces lieux mais j’y reviendrai plus tard, il se fait tard et vous autres mortels vous devez de dormir tout votre soûl pour être en forme dans la journée.

    (Ode)

    Répondre
  30. * Jette un coup d’oeil discret à Aladdiah *

    Ode>

    Euh… Merci à toi…

    * m’approche de toi *
    * te chuchotte *

    Tache quand même de ne pas trop afficher ta nature de mort vivant pour le confort de mes convives, je t’en serais reconnaissant…
    Mais… je ne pensais pas que tu en viendrais à celà… quoique…
    Je te fais apprêter une chambre séparée si tu le souhaites.
    c’est préférable au dortoir principal étant donné at nature.
    Mes pensionnaires aurais qques mal à trouver le ommeil si tu les rejoignais dans le dortoir principal…

    (Tavernier)

    Répondre
  31. >à hylst

    Merci , je me sens vraiment mieux, quel étonnant personnages se trouvent sous votre toit.
    J’ai peur que mon périple jusqu’ici ne vous apporte des ennuies.Avez vous confiance en tout ces gens? *mon regarde va des uns aux autres* J’ai une faveur à vous demander….
    Quand à moi je ne suis possédée par aucune magie.J’ai une force en moi qui me protège.Je ne sais pas encore pourquoi.

    (Elfe)

    Répondre
  32. > Tite Elfe :

    Et bien je connais certaines des personens présentes, mais pas toutes il est vrai.
    Je leur accorde une confiance mesurée. Mais n’ayez crainte, je m’emploierai de mon possible à ce qu’il ne soit physiquement fait de mal à qui que ce soit dans mon auberge.

    * te sourie pour te rassurer *
    * irradie une aura sécurisante, et toujours aussi chaude *

    (Tavernier)

    Répondre
  33. En réaction au propos d’Ode, je me lève, sur la défensive, dos au mur, je murmure une incantation mes yeux deviennent de braise et je vois toutes choses autour de moi telles qu’elles doivent être et non pas déformées par la magie.

    (Phérine)

    Répondre
  34. A Astre Lumineux: Tu me vois sous ma vraie forme : je suis une liche (un squelette mort vivant qui a gardé toutes les caractéristiques et les pouvoirs de son ancien corps et qui peut évoluer et apprendre d’autres choses).
    – Calme toi, jeune Elfe, je sens en toi une tristesse mêlée de colère tant que Hylst sera là tu seras en sécurité. Il ne permettrait aucun meurtre sous son toit, et quand bien même, je l’ai déjà vu rescuciter plus d’un. Installe toi à ma table et déguste une chope à la santé de ton peuple.

    (Ode)

    Répondre
  35. Aux propos d’Ode, je me calme et m’assois à ses côtés.

    – J’ai combattu bien des démons avant d’arriver ici et partager un verre avec une liche ne me fait pas peur. Ceci dit tu parles trop.

    Je regarde les autres et fais un timide sourire qui n’atteint pas mes yeux. Un reste d’inquiétude se perçoit en moi.
    Pour tout le monde:
    Mon pouvoir me permet de vous voir vous et vos possessions camouflées telles qu’elles sont sans l’influence de la magie …(et j’attends vos descriptions).

    (Phérine)

    Répondre
  36. > à Ode

    Bien le bonsoirr, compagnon ! Je ne pensais pas rrencontrer un jour un êtrre de votrre genrre.

    Celle que vous nommez la fauche doit êtrre bien mécontente de son maîtrre, carr je ne l’ai pas souvent menée à la moisson… horrmis quelques bêtes sauvages. Nous vivons en un temps où il vaut mieux êtrre agneau que loup. Ou dois-je dirre « vivions », comme je le crrains ?

    > Ce que voit Astre Lumineux

    Quand tu regardes Llörwyn tu es surprise de ne pas voir la moindre magie : les êtres vivants gardent en effet d’infimes traces des sorts qu’ils ont subis, même des décennies plus tôt. Tu t’approches mentalement de Llörwyn, prête à glisser sur une aura de résistance, à l’attaquer et finalement la percer. Tu t’approches sur le qui-vive, tous tes sens magiques en éveil, mais rien ne se produit et tu peux sonder Llörwyn à ton gré. Il t’évoque la stabilité d’un roc, la tranquillité d’un chêne millénaire au plus profond d’une forêt reculée, ou tout simplement la pureté d’un homme qui n’aurait pas été touché une seule fois par la magie depuis sa naissance. Tu te retires sur la pointe des pieds, avec l’impression d’avoir sali quelque chose, quand un vive douleur t’assaillit. Une forme enflammée a jailli de l’épée de Llörwyn, toujours posée contre la cheminée, et a planté ses crocs dans ton émanation magique, à la manière d’une mangouste attrapant un serpent par le cou. Tu te défends mais l’adversaire est féroce. Soudain, l’être de feu lâche prise et regagne la lame de l’épée. La lutte a été brève mais t’a laissée épuisée.

    > Pour tout le monde

    Llörwyn chasse avec colère un insecte imaginaire, puis son poing retombe lourdement sur la table. Puis, prenant conscience du regard de ses compagnons de tablée, il s’excuse d’un air pitoyable.

    (Zen – Llörwyn)

    Répondre
  37. Contrairement à certaines créatures qui sont imperméables à la magie, Llörwyn est lui totalement perméable à la magie : elle le traverse sans l’affecter, comme un fantôme traverserait un mûr. Cela ne veut pas dire qu’il est insensible aux effets créés par la magie : par exemple, un feu créé magiquement le brûlera comme un autre.

    L’épée de Llörwyn n’est pas maléfique, juste incroyablement jalouse et possessive. Elle pense qu’avec Llörwyn, elle pourrait accomplir de grands actes, et cherche à le pousser vers l’héroïsme.

    Llörwyn lui-même n’est pas vraiment conscient de tout cela : il pense simplement avoir les pieds par terre – et peut-être que c’est effectivement cela, après tout. Quand il perçoit l’influence de son épée, cela se traduit par un agacement qu’il ne parvient pas à s’expliquer.

    (Zen – Llörwyn)

    Répondre
  38. Moi je suis un paldain déchu et je viens du lointain désert de Syharlana.
    ( ah les jeux rachkam et leur fabuleux Dragon Rouge )
    Je cherche à apaiser mes souffrances et a trouver le courage de lire tout ce qui ya sur cette page.

    (Kyra)

    Répondre
  39. > Toi

    Bienvenue en mon auberge 🙂
    Vous êtes… un paladin déchu ?
    De quel dieu ?
    Vous pouvez compter sur mon service, puis je compter sur votre bienveillance ? 😉

    Que puis je vous servir ?

    Je puis vous présenter :

    Moi même, Hylst, tenanccier de cetet auberge, pour le service et le plaisir de tous mes convives 🙂

    Astre lumineux [en la personne de Phérine]

    Litiaée [en la personne d’ Elisa]

    Llörwyn [en la personne de Zen]

    Ptite Elfe [en la personne d’Elfe-en-moi]

    Ode [en la personne de Ode]

    Aladiah [en la personne d’Ultra-Mi]

    et…

    Vous même, vous nommez … ?

    (Tavernier)

    Répondre
  40. bonjour à toi.
    *Je me baisse prend délicatement Aladiah dans mes bras*
    J’aimerais t’aider…..J’ai l’impression de ressentir quelque chose de spéciale en toi.Ne nous connaitrions nous pas dans le passé? si seulement je pouvais voir plus clair en moi même!
    *Je pose un baiser sur sa tête et reçois un coup de langue en échange.*

    (Elfe)

    Répondre
  41. La musique me dérange, mais je pense rester quelques peu. Il paraitrait que ta cave est fameuse.
    Un mai Pandaren m’en a dit fort long. J’aimerais gouter a tes specialités.

    (Kyra)

    Répondre
  42. En ce qui concerne la musique, je peux dire faire en sorte que vous ne l’entendiez plus si vous le souhaitez, mais vous le pouvez également.
    Pour votre convénience, j’en ai changé, j’espère que vous apprécierez 🙂

    (Tavernier)

    Répondre
  43. tout cela est fort bon, mais je dois aller tuer quelques gnolls… je reviendrais peut être…
    * le paladin s’en va dans la tempête qui fait rage, sans que personne n’ait pu dire quoi que se soit*

    (Kyra)

    Répondre
  44. bonsoir…
    Puis je trouver quelques repose en votre paisible taverne…
    Je suis lasse de ce long voyage et…
    Oh ! pardonnez moi ! J’entre et je ne me présente pas ! excusez mon impolitesse ! J e suis une elfe, et je m’appelle lliane. Comme je disais précédemment je cherche un peu de repos en votre taverne. Elle est plutôt calme et propre ce qui me plaît assez, ce n’est sûrement pas ma forêt chérie qui est si loin *air nostalgique mais… elle est éloignée du bruit incessant de la ville !
    Accepteriez vous une elfe de passage ?

    Je suis surprise de mon audace d’entrer dans cette auberge… Et aussi je m’excuse de mon impolitesse *prenant un air gèné *, voila, cela fait une heure que je vous écoute discuter et j’ai eu envie de me joindre à vous bien que je ne sois vraiment pure… J’étais une Moredhel…Mais *air paniqué* !!! j’ai abandonnée mon maître prenant conscience d’être un être imfame et monstueux… coupable des pires crimes ! j’ai changé ! croyez moi ! maintenant je suis redevenue une elfe ! mais avant cela j’ai tué le seigneur qui règné sur le trone de feu la reine Zia, et c’est ainsi que j’ai découvert queje possède en moi des forces monstrueuses et dévastatrices, venant du siegneur que je servais. Elle m’ont été lègué lors de sa mort, mais je prefere passer sa mort sous silence, je vous en parlerai peu etre un jour ou je me sentirai pure pour ainsi dire jamais… Jai donc héritée de pouvoirs étranges et diaboliques, mais je les maîtrise un peu alors si vous voulez bien… me recueillir dans votre auberge… mais vous n’êtes pas obligé ! Sachez seulement que je pourrais m’averer dangereuse pour la sécurité de tous… mais je me disais qu’il y avait des êtres assez puissant pour canaliser les forces qui m’habitent… ooohhh !! je suis si malheureuse !!! Je vous en supplie… ne me laissez pas seule… je suis un être qui a vécu des choses monstueuses et je suis… monstrueuse ! je vous demande la pitié pour un pauvre être… je vous en supplie… acceptez moi pour un repas chaud et lit douillet et je m’en irais !!!

    ( Lleana – Lliane )

    Répondre
  45. Soyez la bienvenue Leana ! 🙂

    Une Moredhel ? Ne s’agit il pas là de ses guerriers sombres ?! .. Des assassins dit on ?!

    Et bien… si vous savez vous tenir, je vous fais confiance, mais ne vous perdrez pas de vue alors 😉
    Mais je pense que si vous aviez à accomplir quelque sombre desseins en ma taverne, vous m’auriez camouflé votre identé 🙂

    Il y a en effet parmi nous des personnalités de grande influence et puissance.
    néanmoins, vous ne semblez pas être la plus faible d’entre elles, bien au contraire.
    Votre passé ne regarde vous en cette auberge, à moins que vous ne souhaitiez nous en dire davantage. Mais sachez ue j’ai le pouvoir si je le souhaite de téléporter intantanément tout être malveillant en dehors de cette Taverne si nécessaire.

    Vous ne vous contrôlez donc toujours que si mal ?

    (Tavernier)

    Répondre
  46. il se fai tar
    et bien je suis ravi de tous vous avoir parler mais il se fait tar et j’ai des chauses a fair je repaserai bientot maintenen que tu est devenu sedentair je serai ou te trouvé (hylst le temps et l’espace n’on pas la mème valeur pour nous et pour eu il se peu que je repasse dans une minute autemp que dans un an) a tout de suite futur compagnon….
    je disparai dans un nuage de fumé sulfuré et un bruit de tonnerre

    (Ode)

    Répondre
  47. * te tendant une gourde *

    Voici pour vous désaltérer là ou vous allez 🙂
    Bien entendu, vous saurez où me trouvez à présent, à très bientôt j’espère 🙂

    [ pour le chat, précisez moi entre crochet si à l’occasion vous seriez intéressés par mettre en place un salon de discussion taverne dont on annoncerait à l’avance l’heure d’ouverture ]

    (Tavernier)

    Répondre
  48. je décide de suivre ce type qui en sair beaucoup sur mon amour perdu; il est en vie! si je le questionne dans son sommeil il m’en dira peut etre plus… je le suis discretement en machonnant une de ces boulettes.. meowww… je me sent toute bizzarre… hum hum….pfuit, je sort avec ode dans la nuit noire…..

    (louisalouisa)

    Répondre
  49. Fleur, la petite humaine, est prête ! Enfin… elle le croit 🙂
    Y’a-t-il des trucs à télécharger ou à remplir?
    Allez ! bises !

    (Vendredi)

    Répondre
  50. tu ne le sais peut-être pas encore, mais par le pouvoir de ton esprit tu es déjà dans la taverne.

    * Llörwyn se met les deux mains sur la bouche et jette des regards affolés autour de lui *
    Hmummf blummff mblll
    * Llörwyn enlève les mains de sa bouche *
    Parrdon, je voulais dirrre : je ne sais pas ce qui m’a prris de dirrre ça, c’était comme si un autrre s’exprrimait à trravers ma bouche.
    * Malgré sa peau basanée, son teint est devenu crayeux *

    (Zen)

    Répondre
  51. Enchanté Fleur, soyez la bienvenue en ma taverne, qui depuis peu fait également office d’auberge 🙂
    Non… il n’y a pas de formulaire à remplir ici, télécharger ?! Mais… je ne sais pas, que signifie ce mot ?!
    Qu’importe, venez donc rejopindre les convives ici présentes et pourquoi pas discutez avec eux autour d’un bon verre que je puis vous servir sans plus tarder. Que désirez vous ? Je puis également VOus apporter masticaille, une soupe peut être, ou quelque chose de plus consistant. Quelque chose de chaud j’iomagine, vu comme il pleut dehors et que vous semblez déjà bien trmpée. Un feu vous attend au fond de cette pièce pour vous sècher si vous le souhaitez.

    * Te désigne une grande cheminée dans la quelle un feu crépitant semblant illuminer à lui seul le plus gros de la pièce semble te sourire, entre les flammes *

    (Tavernier)

    Répondre
  52. J’ai un bon bouillon de légumes et de lard si vous le souhaitez.
    Je vous resserve donc une place pour la nuit.
    * prend note dans mon registre, m’absente une minute de la salle principale, puis reviens avec une grande assiette à soupe fumante humant bon le dit bouillon *

    Voici donc pour vous …. Euh… Comment dites vous vous appeler ?

    (Tavernier)

    Répondre
  53. Hylst, c’est mon nom, je suis le tenancier de cette auberge qui je l’espère vous sera agréable 🙂
    Mais… n’hésitez pas à vous entretenir avec mes clients, vous verrez, il en est d’origines vraiment riches par leurs diversité 🙂

    (Hylst le tavernier)

    Répondre
  54. hum… bonsoir !
    je me prénomme Malena !
    votre auberge m’a paru accueillante et j’ai décidée d’y entrer ! Vous resterais t-il une chambre pour une elfe de passage ?

    (Malena)

    Répondre
  55. Bien entendu, je puis offrir un confort rustique pour le moment, le temps que les chambres de qualité sont terminées d’être construites, rustique, mais comfortable malgré tout 🙂

    Soyez la bienvenue dans mon auberge 🙂

    Quel bon vent vous porte jusque dans cette région ?

    (Tavernier)

    Répondre
  56. je vous remercie tt d’abord de votre hospitalité. ce qui m’amène par ici ? et bien je recherche l’elfe que j’aime… il est parti de notre forêt pour qq raisons personnelles que je ne peux vous expliquez et je ne l’ai plus revu depuis… cela fait trois semaines que je n’est plus de nouvelles… Il a la peau d’un bleu très pâle comme la mienne et porte une dague avec un demi lune sur le pommeau sous sa tunique de moire… (je vous dit ça car il est aussi susceptible qu’un nain !et qu’il la sort vie de sous sa tunique… (sourire mélancolique) ci vous l’ace vu je vous en supplie dites moi ou il est parti !!! je le cherche partout ou il a pu allez et cela fait 6 jours 5 nuits que je le recherche… il me manque… (sort soudainement de sa rêverie) O mais il ne faut pas que je perde le moral je le retrouverai ! avec ma dague, mon arc et le s pouvoirs d mon peuple je réussirais !!! donc voila je cherche un peu de repos et votre auberge paraissant calme et coquette j’ai voulu y entre d’abord par curiosité ! mais finalement je passerais bien qq temps ici ! les gens y on l’air agréables et l’auberge est assez douillette… je souris et commande un verre d’eau

    (Malena)

    Répondre
  57. Bonsoir…
    Je me présente, je suis lliane, une elfe de la forêt d’Eliandre, je viens chercher quelques repos en votre taverne. Un tempête rugit dehors et même pour unelfe il n’est pas temps à sortir de sa forêt !
    Accepteriez vous une elfe de passage ?

    (lliane)

    Répondre
  58. Bonsoir lliane, oui, je connais un peu, de nom, cette forêt d’Eliandre.
    Mais si je ne m’abuse, cette forêt n’est vraiment pas à proximité de mon modeste établissement.
    Quel bon vent vous porte ce soir jusqu’en ma belle région ?

    Vous êtes bien entendu la bienvenue 🙂

    Que puis pour votre service ? 🙂

    (Tavernier)

    Répondre
  59. Je suis chasseuse d’hommes, *dis je d’une voix chantante en allant m’asseoir d’une démarche féline…* je recherche un criminel en fuite. Il a assassiné un membre du Grand Conseil, le nain Gazlwaïn, un de héritiers potentiels du trône sous la montagne noire. *ma voix se fait glaciale et posée* On m’a chargée de le trouver et de le tuer pour venger l’honneur des nains, vous avez sûrement rencontré quelques nains, vous devez donc connaître l’importance qu’ils attachent à leur honneur.

    Ce criminel a tué traîtreusement Gazlwaïn d’un coup de dague dans le dos…
    Nous savons que ce tueur est un elfe gris, et si vous avez voyez ou vous avez vu un elfe gris louche dans les environ, j’aimerai que vous me préveniez.

    Sinon, je voulais vous complimentez sur la tenue de votre auberge *regard admiratif*, nul bagarre ne vient souiller cette chaleureuse taverne. Mais je trouve qu’il n’y a pas beaucoup de buveurs… ? Est-ce ainsi d’habitude ? *moue désabusée* N’y a-t-il pas quelques discutions animés, quelques visites de troubadours ou quelques discours enfiévrés sur la beauté de la guerre comme l’on trouve dans les autres tavernes ? Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre ! Bien au contraire, cela correspond assez à ma nature d’elfe, bien que je commence à avoir l’habitude de la présence des humains et de leurs villes si… criardes et sales ! sans vouloir vous offenser sieur Hylst ! Mais il est vraie que je supporte mal le bruit et que je préfère le calme de ma forêt… *regard mélancolique*

    Sinon, avez-vous vu passer un elfe gris… ?

    Il n’a aucun signes distinctifs qui puissent vous le faire reconnaître, mais il porte un arc long, une tunique de moire avec une cotte de maille d’argent tressé ainsi qu’une dague des plus banales, ses yeux sont noirs, tout comme ses cheveux, la peau grise comme tout elfes des marais, il a aussi un certain accent des terres gastes. Voila sa description.

    *j’accepte le verre d’eau que vous me tendez et je commence à défaire la tresse qui noue mes cheveux soyeux d’un noir de jaie*

    Permettez que je me mette à l’aise sieur Hylst ! *un sourire narquois naît sur mes lèvres sensuelles* vous me semblez bien triste n’avez vous nulle compagnie que celle de quelques serviteurs et de vos visiteurs?

    (lliane)

    Répondre
  60. lliane :

    En effet, j’ai croisé plus d’un anin et comprend bien l’enjeu important dont il s’agit là.
    Je vous préviendrez dans ce cas, comptez sur moi.

    * te regarde dans les yeux afin de déterminer si ton histoire semble juste ou non, de peur de ne peut être de faire celà pour des desseins autres que ceux que tu présentes *

    Je vous remercie, la tenue de mon auerge est une de mes plus grande priorité 🙂

    Mes clients sont arrivé il y a peu pour beaucoup, timides pour certains.
    Mais je suis sur qu’il ne devraient pas tarder à prendre gout à la boisson 🙂

    Il y a pourtant quelques discussions ici, n’hésitez pas à bouger un peu le derrière des invités qui auraient tendance à s’endormir 😉 Libre à vous 🙂

    Il y a eu qques discours cependant, mais de troubadours, point jusqu’alors.
    Auriez vous vous même quelques talents de conteuse ou de chanteuse peut être ?

    Vous ne m’offensez point, je connais ce milieu, mais je tiens toutefois à ce que mon auberge soit acceuillant pour le plus grand nombre, et pas seulement pour les humains, d’où son entretien que je soigne particulièrement 🙂 Ce là n’a certes rien avoir avec votre forêt, mais j’espère que vous y trouverez un confort relatif malgré tout 🙂

    Je n’ai encore jamais vu passer tel elfe gris je le regette, sachez m’en désolé, mais si jamais …

    * Te sourie, aimablement *
    * T’observant te mettre à l’aise, un peu gêné, troublé, fait mine d’astiquer un peu une tache … que l’on distingue pourtant à peine *

    Je suis en effet seul, mes invités se reposent un peu…

    * Rougis très légèrement, presque imperceptiblement *

    (Tavernier)

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  61. Je n’est pas de talents de conteuse ni de chanteuse ce n’est pas vraiment ce que l’on m’a appris à faire…je veux dire que ce n’est pas à ça que j’ai été formée…*regard gené*

    *me reprend aussitôt* *je me lève et te regarde avec un demi-sourire* je pense aller me reposer une heure ou deux et j’inspecteai la ville cette nuit…Bien sur notre petite discution reste entre nous je ne voudrais pas…*un regard implicite te fit comprendre que cela ne devait pas sortir de cette taverne et de ta bouche…*

    *je récupère mon arc et mes flèches,(j’étais sous la tempête il y a peu…) mes longs cheveux noirs sont plaqués sur mon front par l’humidité, et ma tunique de moire, trempée et constellée d’éclaboussures de boue colle aux mailles de ma broigne d’argent, soulignant mes formes graciles… sous ma tunique aux couleurs indéfinissables tu entraperçois la forme d’une dague et, par la même occasion la fente qui découvre le haut de ma cuisse…*

    M’accompagnerez -vous jusqu’a ma chambre sieur Hylst ? *d’un sourire ravageur et de séductrice aguerrie, je t’invite à me mener jusqu’a ma chambre…*

    (lliane)

    Répondre
  62. lliane> (rep à C78)

    EUh… et bien… c’est que là.. j’ai tout de même me clients à servir et nos nouveaux clients potentiels à venir à accueillir…

    * je dégage une certaine chaleur, presque surhumaine, tremblant un peu, yeux brillants, en proie à une lutte intérieure *

    Mais…euh…
    Je…
    Enfin…
    Peut être… souhaiteriez vous prendre un bain ?
    C’est possible si vous le souhaitez.
    Mon auberge dispose de douches et d’un bain moussant si celà vous intéresse…
    Il vient d’être libéré il y a une heure à peine.
    Votre voyage …
    Vous vous sentiriez plus à l’aise….

    Qu’en dites vous ?

    Avant de m’absenter, i faut que hje fasse toutefois appel à mon serviteur.

    * Entrechoque une tige de bois et une tige d’os nacrée qui se trouvaient toute deux à ma ceinture *

    (Tavernier)

    Répondre
  63. *te regarde d’un air doux et enfantin puis je me lève en riant d’un rire christallin…*
    La proposition que vous venez de me faire est mille fois plus interressante ! J’avoue avoir grand besoin d’un bain*te regarde goulument* très bien sieur Hylst, menez moi jusqu’aux douches !
    D’un pas gracieux je reviens vers toi* ou puis je déposée mes armes ? *la corde de l’arc collait à ma tunique de moire et soulignait plus encore les courbes de ma poitrine….*

    (lliane)

    Répondre
  64. lliane> (rep à cmt 79)

    * Charmé, limite pétrifié je t’observe *

    *Suite au claquement de mes 2 petits batons dos et bois, un squelette de petite taille, pobablement nain, lustré de manière impecable, couvert partiellement d’une cape de cuir et d’une chemise de laine blanc-grise fait son apparition, de par la porte des cuisines et s’approche de moi et me regarde *

    * Brandelon, veuillez vous occupez du service de mes invités, je m’absente un moment *

    * Le squelette Brandelon aquiesce puis se dirige vers les invités, pour s’enquérir de leur bien être et de leur désirs *

    Voilà… oui.. bien sur 🙂
    Je peux vous y menez, si vous voulez bien me suivre 🙂

    Quant à vos armes, permettez moi de vous en décharger. Je les rangerai bien à l’abris.

    (Tavernier)

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  65. Anonyme > (rep cmt 70)

    Un elfe a la peau d’un bleu très pâle comme la vôtre…. opui, j’en ai déjà vu, mais pas récemment en dehors de vous.
    De quelles contrées venez vous donc si ne n’est pas indiscret, ou si du moins celà peux me dire quelque chose ?

    Quant à la dague avec une demi lune sur le pommeau et sous sa tunique de moire qu’il porterait.

    J’ai un ami qui a de bons dons de civination. Peut être accepterais il de vous aider. Mais il ne passe qu’occasionnellement, et il ne m’est guère aisé de faire appel à lui.

    * te serre un verre d’eau *

    Tenez pour vous 🙂
    Mais dites moi, comment vous appelez vous ?

    (Tavernier)

    Répondre
  66. Je vous est dit precedemment que je m’appelais Malena.
    Je pense avoir retrouvée la trace de mon homme, j’ai entendu son appel… Il faut que je vous laisse !
    Je repasserais volontier une prochaine fois dans votre charmante taverne!

    Au revoir cher Hylst et je donne ma bénédiction à cette taverne si chaleureuse !!!!

    (Malena – lliane)

    Répondre
  67. Malena>

    (anonyme était toi au 1er comment ?)

    Ah… je n’étais pas sur, il était question d’une peau bleue au départ, détail que vous n’aviez pas repris lors de vos propos suivants. Désolé de n’avoir pu vous aider à le retrouver oplus rapidement, si vous l’avez enfin retrouvé, je vous souhaite bonne chance pour votre départ.
    Et surtout, n’hésitez pas à repasser à mon établissement dont vous n’avez tout de même guère eu le temps de profiter… Vous y serez toujours la bienvenue 🙂

    * Sourire charmant, légèrement ponctué d’un peu de déception *

    Au plaisir Malena 🙂

    (Tavernier)

    Répondre
  68. Ne faites pas cette tête là sieur Hyslt ! *un sourire coquin apparaît sur mon visage* Vous ferais-je peur ? *je partie dans un rire melodieux et cristallin*
    Je vous suis ! *et de ma demarche gracieuse j’avance et te regarde d’un air mutin* Que faites vous sieur Hylst vous n’allez pas rester planté là ! Montrez moi les douches ! *je repart dans un rire chantant qui faisait apparaître au coin de ma joue une adorable petit fossette…*

    Puis avec un air qui se voulait sérieux pour en pas te troubler davantage, je te donne mes armes…

    (lliane – Malena)

    Répondre
  69. Malena>

    Heu… non… mais je dois avouer…
    Et bien… Que je n’ai … Hum…
    Que vous êtes fort charmante Damoiselle Malena 🙂

    * forme nerveusement point de mes 2 mains, doigts serrés *
    * fuyant un peu ton regard… *

    Je… excusez moi.. Oui, bien sur.
    * je prends tes armes, enfin… celles… matérielles… 😉 *

    Si… si vous voulez bien me suivre be… Damoiselle Malena.
    Je vais vous mener au douche.

    * sors de la salle principale de l’auberge, par la porte ‘en B’ *
    * des escalliers droits, une porte, je m’y arrête pour l’ouvrir, y déposer tes armes, et la refermer, reverrouiller *

    Voici vos armes en sécurité.
    Suivez moi à présents, les bains et douches sont un peu plus bas.

    * les murs sont de pierre posées récemment, quelques tableaux et fresque ici est là représentant des cartes des royaumes, quelques portraits, paysages, … *

    (Tavernier)

    Répondre
  70. *Je te suis docilement d’un pas gracieux* Votre auberge est magnifique !
    *te sourie amablement tout en regardant ton auberge*

    (Malena – lliane)

    Répondre
  71. Malena>

    * se retourne, souriant, pour vous parlez quelques instants *
    Je vous remercie 🙂
    Permettez moi de vous dire votre seule présence suffit à enchanter ces lieux plus qu’ils ne pouvaient déjà l’être 🙂

    * descendant tout en parlant, distrait, je manque une marche et réussis malgré tout à me rattraper à une tanture accrochée là, mais qui elle, du coup, est sortie de sa tringle *

    Oups…euh… je devrais regarder devant … héhé… où je vais…

    * rougis de honte quelque peu … 😀 *

    Bon… je vais devoir réaccrocher cette tanture.
    Je n’ai pas manqué mon coup, cette tringle est haute.

    * circonspect, observe la tenture, puis la tringle à laquelle cette précédente était accroché par 3 anneaux d’argent *

    * j’essaie de monter sur une marche plus haite, me tend, sur la pointe des pieds même, mais ne parviens pas à raccrocher ces anneaux alors que pourtant, je suis de taille appréciable *

    Arghh… elle est est vraiment top haute… Bon… Je reviendrai plus tard la réaccrocher avec du matériel.

    (Tavernier)

    Répondre
  72. * je rougis légèrement à ton compliment et souris d’un petit air gêné…* Merci sieur Hylst, je ne sais que dire… *en te noyant aussi distrait et maladroit je sourie d’un air amusé et joyeux…* Attention ! Regardez devant vous, vous allez finir par vous blesser ce serait bien dommage un si bel ho.. euh… Excusez moi sieur Hylst je ne sais plus ce que je dis ! * rougis légèrement…* *te regarde faire ton petit manège d’un air amusé…* Y arrivez vous ? N’avez vous pas besoin d’aide ? C’est une bonne idée, vous reviendrez plus tard. * je te fais un sourire qui ferait fondre le coeur d’un nain…*

    (Malena – lliane)

    Répondre
  73. * frémis et rougis *
    * pose un pied une marche plus bas que j’atteins avec chance… *

    Je … je .. oui… vous avez raison, cette tringle ne sera pas évidente à raccrocher sans matériel adapter, je m’en occuperez plus tard.

    Si vous voulez bien me suivre donc Dame Malena…
    Et… accepter mes excuses pour ce contretemps.

    Je vous mène de ce pas à la salle des douches.

    * te regarde, les yeux grands ouverts, mais déviant un peu … comme un chien de faïence, moi qui d’habitude suis d’une assurance, d’un caractère et d’une prestance relativement impressionnante *

    Encore toutes mes excuses Dame Malena.

    * me retrourne, et reprend ma marche *
    * une 40 aines de marches plus bas, u palier, une porte, l’escalier descends encore, mais… *

    Voici donc, nous sommes arrivés 🙂

    * J’ouvre la porte et semblant avoir aperçus quelqu’un, gronde *
    * tu ne peux encore voire à l’intérieur *

    Ihmzir !! Voyons, tu n’as encore fini de nettoyer les douches ?
    Ah… met… Je t’ai déjà dit que le balais se tenait dans l’autre sens…

    Dame Milena, vous m’excusez quelques secondes ?
    Ce sera court ?

    * rentre, tu vois entends un grand souffle et sens une forte vague de chaleur *

    Voilà voilà…

    * un lutin sors, gêné de la porte, te regarde à peine, et descend les escaliers, les dévalant *

    * je reviens vers toi *

    Parfait 🙂
    Les douches sont propres et à votre entière disposition Dame Malena 🙂

    Bon… ça va… ça va. Ce n’est pas encore trop sale.

    (Tavernier)

    Répondre
  74. J’accepte vos excuses… * air entendu*

    *en riant* Cessez donc de vous excusez ! Vous n’y êtes pour rien voyons ! *rit franchement d’un air joyeux*

    *air intrigué en t’entendant réprimander ce lutin et plus encore lorsque une vague de chaleur me prend… puis tu peux lire une certaine surprise dans mes yeux en voyant ce lutin passer prestement devant moi…*

    *te regarde étrangement puis tout d’un coup un grand sourire se dessine sur mon visage…* Ah ! Sieur Hylst ! vous métonnerez toujours ! *rit quelques peu gènée…*

    *puis reprend un air détaché attendant que tu me fasse entrer et découvrir les lieux…*

    (Malena – lliane)

    Répondre
  75. * j’ouvre la porte plus largement t’y laissant passage *
    * tu peux voir que la couleur de ma peau à changé, j’émane une forte chaleur, et une forme de d’aura venteuse semble tourner autour de ma personne *

    Oui, je m’exc… euh… mais… je vous en rpie, si vous voulez bien vous donner la peine d’entrer.

    Vous trouverez 5 douches séparées, et une grande armoire à linge.
    Il y a des peignoirs, et même un petit sauna pour 4-5 personnes a fond à gauche si vous le souhaitez également. Je peux vous l’apprêter si vous le souhaitez.

    De même, après une 1ère douche, vous pouvez si vous le souhaitez prendre un bain, mais il n’en est qu’un, et déjà occupé par un de mes clients pour le moment. Si vous le souhaitez, je peux l’inviter à céder place. Celàa fait de toute façon plus de 2 heures qu’il s’y trouve.

    (Tavernier)

    Répondre
  76. *te regarde avec étonnement et te questionne du regard*

    Oui, j’ai une préférence pour les bains si cela ne vous gènes pas…je ne prends jamais de douche…A vrai dire, je me baigne dans les lacs et les rivières…
    *je dit cela comme si c’était une évidence*

    Un sauna ? Qu’est-ce ? *quelques peu surprise par mon manque de connaissance…*
    Des peignoirs ? Mais pourquoi faire ?
    *quelques peu désarçonnée par toutes ses choses qui me sont inconnues…*

    (Malena – lliane)

    Répondre
  77. Euh… et bien.. c’est que le bain dont je vous parle est public, et que nous n’y changeons l’eau qu’une fois par jour. Les douches se prenant pour se laver avant les bains à vrai dire.
    Il est vrai que ce n’est pas forcément ce qu’il aurait été le plus naturel, et j’en suis désolé.

    Mais après tout… Je peux… Je peux vous mener à la salle des bains directement si vous le souhaitez. Puis je vous remettre au moins un de nos superbes peignoirs.
    Il vous serait fort saillant, de toute manière… je pense qu’à peu près tout habit sur vous, serait à ravir… euh…. * sourire aux grande dents, rire gêné… ;p *

    Ces peignoirs sont très agréables au touché et au porté.

    * Me déplace pour t’en chercher un, et reviens *

    (Tavernier)

    Répondre
  78. Bon et bien dans ce cas je ferais un baptême de douche ! *me mettant à rire*
    Et ensuite j’irai au bain ! Qu’en pensez vous ? Cela règle toute l’affaire !
    Et aussi apporte… Oh pardon…*confuse* apportez moi ces choses que vous appelez « peignoir » ! Vous ne cessez plus d’en vanter les mérites ! J’ai donc très envie de le voir…*riant aux éclats*

    *reprenant un air sérieux…*
    Mais avant, expliquez moi ce qui c’est passé tout à l’heure ?
    *te regardant fixement*
    Vous n’allez pas me faire croire à moi qu’il faisait si chaud dans cette salle…

    (Malena – Lliane)

    Répondre
  79. Vouz verrez, ces douches sont fort agréables 🙂
    Des jets d’eaux chaude sous pression, un principe mi naturel, mi mécanique de mon invention personnelle 🙂

    * me redresse fièrement, souriant *

    Tenez, j’accroche ce peignoir à ce mur. Je suis sur qu’il vous ira à ravir 🙂

    Et bien… pour cette chaleur… il s’agit d’un artifice… j’ai … quelques connaissances en sciences arcaniques pour tout vous dire. Un sortilège déclencheur.
    Voilà tout.

    * prend un air fier, mais sans plus 😉 *

    (Tavernier)

    Répondre
  80. *air ébahie devant une aussi belle salle de bain…*
    Elle est vraiment magnifique c’est fait avec quels matériaux ?

    *regarde le peignoir que vous désignez*
    Alors voici un fameux peignoir… *rougis légèrement de ton compliment*
    Hum…merci sieur Hylst, ce genre de remarques ne sont pas nécessaires…hum
    *détourne les yeux..*

    *te regarde sachant que tu ne me dis pas toute la vérité…je te le fais bien sentir…*

    *commence à me déshabiller sans aucune pudeur puis je me vêts du peignoir en question…*

    (Malena – Lliane)

    Répondre
  81. * vire à l’écarlate *
    * fait volte face *

    Euh… c’est que… je suis désolée.. veuillez excusée mon manque de tenue…

    Cette pièce… euh.. et bien…

    * transpire qque peu *

    Elle est faite de d’une forme d’Aigue Marine, naturelle au départ, puis étendue artificiellement sur soute la cavité dans laquelle a été taillé cette pièce, ceci par Magie hermétique. Je… J’espère que celà vous plait.
    Cette liminosité est du à un rétro éclairage magmatique, de même que la caleur du sol que vous pourre sentir, pieds nus.

    Je… Je vais vous laisser prendre votre douhe donc…

    Pour les bains, la pièce est la juste un peu plus bas quand vous reprendrez les escaliers.

    * toujours de dos, suant quelque peu *

    N’hésitez pas à appeler si vous avez besoin de quelque chose.
    Ce tubes * te désigne une cavit » dans une paroi * sont prévus à cet effet.

    (Tavernier)

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  82. C’est tout simplement magnifique ! *regard admiratif*
    Je n’ai jamais vu de salle de bain aussi belle, enfin…je n’ai hâlais vraiment vue de salle de bain…mais qu’importe ! et quelle originalité !!!

    Très bien sieur Hylst… mais je ne pense pas rester très lgtp…j’ai du travail…

    *me dirige vers une des douches, fait glisser le peignoir lentement…puis entre dans la douche…*

    *me retourne, ce qui fait saillir ma souple poitrine…*
    Je vous appellerai quand j’aurais terminé.
    *puis disparais dans la vapeur que commence à dégager l’eau bouillante de la douche*

    (Malena – Lliane)

    Répondre
  83. La Taverne d’Hylst est de retour pour vous rafraîchir le gosier et vous amuser !

    « Damoiselles, Damoiseaux, venez donc vous attabler,
    discuter, vous restaurer à la taverne d’Hylst ! »
    « Menus exotiques, boissons en tous genre, musique d’ambiance,
    et divertissements y sont proposés ! »
    « N’oubliez pas de consulter les règles d’établissement ! »

    Nos troubadours sont à votre disposition
    si un brin d’ambiance musicale vous enchanterait :

    (lien musicaal)

    On vous tend alors le phylactère que vous déroulez
    et sur lequel vous pouvez lire :

    * Note aux clients :

    Déclinez une identité imaginaire ou réelle à votre gré,
    l’endroit n’a pour décor que ce que l’imaginaire commun décrira.
    Vous pouvez vous y défoulez un peu, à condition toutefois de ne pas tout casser !
    Demandez Hylst pour passer commande, pour le menu, pour renseignements, ou autres raisons. Gare aux Mauvais payeurs !
    Hylst est un être draconique camouflé par
    une puissante illusion lorsqu’il reste dans cette auberge.*
    Payez votre du est possible en monnaie sonnante et trébuchante, ou bien en laissant au maître de maison de poétiques ou simplement; touchantes attentions 🙂

    Cette taverne est un jeu de rôle, vous l’aurez compris ;o) *

    Dragons, elfes, fées, Anges ou démons, lutins, rats cornus,
    licornes, papillons ou simples humains,
    Allez vous entrer ?

    Répondre
  84. * Sur la porte accrochée un message *

    La Taverne et auberge est à nouveau ouverte à tous
    après près de deux ans de fermeture …

    Soyez les bienvenus !

    Le premier verre du breuvage de la spécialité du tavernier vous est offert !

    Répondre
  85. * nettoie la salle principale, plaçant tables, bougeoirs et chaises,
    réécrivant avec soin cartes des boissons et repas,
    refixant l’ardoise des offres du jour au coin du bar, brique ce dernier…
    nettoie à nouveau verrerie et vaisselle n’ayant pas servi depuis lontemps…
    Descend dans la cave et remonte bière, vins et quelques liqueurs…
    Passe en cuisine préparer un ragout avec les quelques courses faites de ce matin
    Prépare la pate à pain et l’enfourne… *

    * reviens dans la salle principale, ouvre à nouveau la porte… *

    LE SERVICE REPREND !

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  86. Bonjour, bonjour! J’voudrais ben un bock de bière et une bretzel. Je désespérais presque de ne rien trouver d’ouverte par ici! Oh? J’suis la première cliente?

    Répondre
  87. 1ère cliente

    * alors affairé en cuisine… *
    * au bruit de cette porte qui n’avait pas grincé depuis longtemps *
    * sors de la cuisine pour rejoindre le bar… *
    * une cliente !!! *

     » Hey !!!  » * s’exclame t il !*

     » Bien le bonjour ! ou plutôt devrais je dire… le Bonsoir ! =)
    Vous êtes en effet ma première cliente depuis ma réouverture !
    Soyez la bienvenue !
    Un bock de bière ?
    Je la brasse moi même, vous m’en direz des nouvelles !
    Je fvous l’offre !
    Pour ce qui est de bretzels… mmmhhhh… oui !
    Le temps que ma fournée se termine, et je vous en apporte un bien chaud !  »

    * se baisse, pour s’emparer d’un large bock, et t’en verse un contenu dense et bien mousseux en surface qui crépite doucement et répand dans l’air de subtils arômes d’ayrelles et houblon *

    Voilà pour vous ! * dit il jovial et ravi =) *

    Vous n’avez donc point trouvé de quoi vous restaurer dans les environs ?
    Et bien… il est vrai que ma modeste auberge est la seule du quatier il est vrai…
    Celle du vieux Pernaud à fermé ses protes il y a à peine 2 mois !

    Demeurez vous dans les environs ?

    Répondre
  88. *se gratte la tête, deploye ses ailes* Je viens de la montagne magique de l’autre coté de vot’ forêt.*secoue ses ailes et les replie* J’ai dû fuir car un monstre est venue! J’espère que je suis à l’abri ici!Alors sa vient ce bock, ai soif!!!

    Répondre
  89. « Le voici, le voici » * dis je en déposant le bock plein de bière devant toi *

    * admiratif à la vue de tes ailes déployées *

    Il est vrai qu’il y a une montagne assez peu commune derrière la forêt du val des cerfs !
    Mais je n’y ai que peu voyagé, tout juste à l’occasion à la recherche de nouvelles herbes alimentaires et médicinales, et d’un peu de gibier.

    Un monstre dites vous ?
    De quel genre ?
    Mais… vous semblez sauve et en bonne santé heureusement, n’est ce pas ?

    Répondre
  90. J’entre et je m’installe près du feu devant le quelle je me réchauffe les mains.
    *D’une voie venu d’outre tombe*
    « Et bien tavernier qu’as tu fais pendent s’est deux anées, tu le vois mois je n’ai pas changé.
    Mais enfin je te retrouve, tout vient à point a qui sais attendre »

    Répondre
  91. Bonjour cher vous. Il me semble en effet qu’ici même nous nous sommes rencontrés….*deploye ses ailes, se gratte la tête, réplie ses ailes*Bon le tavernier, ça vient mon bock de bière??? Ma Bretzel,elle est cuite??? *se retournante vers cette chose en face d’elle* Ah!Toujours à le quête? Bah moi, vous me l’aurez pas, j’suis immortelle, na!Comment se fait-il que vous vous pointez de si bonne heure?Y a personne!*éclate de rires*

    Répondre
  92. * passant en cuisine, en ressort avec un grand bretzel bien chaud qu’il te remet le sourire jusqu’aux dents, avec petite courbette ! *

    MMMmmmhhh… il n’est plus si tôt que cela non plus !
    Vous êtes donc Immortelle ?! Vous voulez dire…que vous pouvez vivre vraiment très longtemps en fait, c’est cela ?

    (Tavernier = Hylst)

    Répondre
  93. *mords dans la bretzel bien chaud* Ah!que c bon!!! Merci le tavernier! Ca, ça se laisse manger! Pour repondre à votre question, oui, je ne peux mourir. Rien, mais rien ne me peux m’atteindre.* se tourne vers le gars(ode) prés de la cheminée* Dis donc! t’as pas fini??? Qui veux-tu faucher cette fois ci???*

    Répondre
  94. Nan, j’suis la dernière. Dites le tavernier, on paye de quelle monnaie par ici???
    Et tant qu’on y est, j’voudrais bien un autre bock! C excellent!!!
    Bon, allez, ma licorne m’attend!

    Répondre
  95. Bonjour à vous petit habitent de la foret, comment se fait’il que vous soyer le dernier représentant de votre espèce ?

    (pour info je ne suis qu’une lyche et pas la mort, se serai trop dur a porté)

    Répondre
  96. Au nouveau venu près du feu
    * te voyant entrer, et t’installer près du feu, comme si tu étais encore venu hier à la taverne *

    Héé !…
    Bien le bonsoir à toi !
    Tu sembles toujours fort peu enjoué dis moi ? ;o)

    Ces deux années … oui… Parti à la recherche d’Ephéméria qui m’aidait à la taverne suite à une aventure dans un petit village du nom d’Aventurine, dans le Pays de Félizia, caché dans un sous bois non loin de la rivière bleue… Mais… tout va mieux depuis… elle s’en est retournée chez les sien…
    Et puis… à mon retrour, j’ai trouvé la porte de la taverne forcée, et plusieurs chabres ainsi que les caves dans un état de brulé et de délabrement laissant supposé à des vandales ou …
    J’ai mis beaucoup de temps à reconstruire l’ensemble jusqu’à ce jour …

    Et toi ? ces deux dernières années ?

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  97. Pour moi rien de fabuleux, la vie de se monde sui sons cour et je l’observe avec au temps d’intérêt qua mon premier jour.

    Il y a toujours le plaisir de retrouvé des être qui conte dans ce monde décadent, observé en intervenant le moins possible pour que le destin ne s’éloigne pas trop de lui même enfin je m’égare la.

    ( contes tu refaire un plan de la taverne ???)

    Répondre
  98. A mes deux 1ers clients
    * A l’être unique ailé : *

    Notre monnaie ? En couronne de cuivre et de fer pour la monnaie dont vous pourriez avoir besoin dans mon établissement.
    Vous désirez donc un autre bock de ma bière maison ?
    Je suis ravi qu’elle vous plaise =)

    Une…licorne ? vous dites ? Votre licorne ?
    Je dois avouer ne jamais en avoir vu à ce jour !
    J’avais même entendu dire qu’elle était sauvage et ne se laissait jamais monté, mais…
    Comment … Est elle non loin de là ?

    * te servant un nouveau bock généreusement rempli *

    Puis je mme permettre de m’enquérir de votre nom ?

    * A l’être lyche : *

    Toujours aussi contemplateur alors, le bénéfice de la vie éternelle, la sagesse sempiternelle.
    Mais… il est pourtant bien connu que les êtres devenus lyche ont souvent défié les règles de la nature…
    en raison d’une passion telle qu’il ne voulait en aucun abandonner, que même la mort ne pourrait leur enlever… n’est ce pas votre cas ?

    (plan de la taverne prévu, oui, à mesure de sa découverte)

    (Tavernier = Hylst)

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  99. Oh!Euh… Je n’ai que des pièces or. Et puis j’ai sécoué mes ailes il y a plein de poudre d’or qui a dû tomber. *elle pose une couronne d’or* Volià. Votre bière est excellente, la bretzel succulente. Laissez, ne me rendez pas la monnaie…*se tourne vers la porte, l’ouvre, se retourne* Mon nom est Mürmeline de la forêt enchanté. Je reviendrais.*Passe la porte, monte sur sa Licorne. Fait un signe de main* A bientôt!!!

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  100. Mûrmeline dites vous ?
    Enchanté !

    Une courone !
    C’est bien trop pour ce que vous avez consommer, vous ne devriez pas !
    Revenez quand vous voulez, votre prochain repas sera offert ! =)

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  101. Oh! Très aimable de votre part! Quel service!!*agite sa main* Je reviendrais et j’espère vivement que vous aurez plus de monde! Une « réouverture » est toujours difficile.*pars au galop dans la forêt*

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  102. UN VERRE OFFERT ? PAR LA BARBE MELEE DE MES ANCETRES !!
    – J’espere qu’il y a de la biere, ajoute le nain, plus calmement.
    Le petit personnage semble etre apparu de nulle part, et se tient devant le bar, les tarifs des consommations à la main. Probablement agé, il porte une tenue bourgeoise rehaussée de bon nombre de bagues et autres colifichets dorés. Sa barbe est teinte de sept couleurs distinctes, et ses longs poils chamarés sont maintenus séparés les uns des autres par 7 anneaux d’or.
    Le temps que tu l’examine de pied en cap, il porte un regard severe sur toi.
    -Je sais … Je sais parfaitement ce que tu penses, mais crois moi, je connais bien les profiteurs dans ton genre, tavernier !

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  103. * A Kornemuz *

    * saluant Murmeline qui s’en va, chevauchant sa Licorne *
    * me retournant pour rejoindre le bar … *
    * Un peu surpris ne t’ayant vu venir… *
    * te détaillant brièvement du regard … *

    Euh…
    Bonsoir Monsieur !
    Vous êtes mon troisième invité depuis la réouverture de mon établissement !
    Vous êtes également le 1er nain depuis assez longtemps en fait !
    J’espère que mes bières vous sustenteront comme vous l’espérez,
    Puis je vous proposer une grande pint de ma bière tout dernièrement brassée de cette semaine ?
    Légèrement aromatisée, où malt et houblon judicieusement dosés je l’espère sauront ravir vos papilles expertes ! C’est là une variante de la bière telle qu’un de vos confrères m’a appris à la faire il y a bien des années de celà déjà…
    Elle vous est offerte à l’occasion de la réouverture de mon modeste établissement, que je dois restaurer encore partiellement. Je puis vous offrir le gite et le couvert si vous le souhaiter également.
    Mais… bien que je reconnaisse volontiers que vous soyez, Maître nain, d’apparence aisée, sachez qu’en aucun cas je ne saurais pratiquer tarifs prohibitifs !

    ( Hylst le Tavernier)

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  104. HA ! Je ne parle pas de tes tarifs, aubergiste. Ce seul mot veut d’ailleurs dire « vol manifeste » à lui tout seul. Les hommes ne s’y entendent pas logiquement en tarifs, et j’en veux pour preuve que certains d’entre eux en laissent d’autre mourrir de faim, tout ça pour des histoires d’or et de prix.
    Non, il y a autre chose qui me rend méfiant, mais j’aurai le temps de t’en parler, car si tu le veux bien, je compte rester plus longtemps que la belle dame qui s’en est allé tantot.

    * Le nain renverse à ses pieds un havresac bien dodu. Bling, ding, crac, pouf. Il semble contenir pas mal de fourbis, une carte et une boussole y sont accrochés, et un caleçon dépasse.*
    * Il se tourne et observe le fond de ton établissement *

    Tu es suremment une ame trés courageuse pour esperer attirer les foules avec cet estaminet. Oh non, ne prend pas mal ce que je dis, c’est un lieu magnifique, mais qui aurait peut etre besoin d’un ptit coup d’fraicheur, héhé.
    Or il se trouve justement que …* Alors qu’il fouille son immense besace, tu imagines le nain avec elle sur les routes et tu ne peux t’empecher de penser qu’il doit ressembler à un escargot et sa coquille * …j’ai sur moi deux trois outils * bradissant un petit marteau de forge en te tappant sur l’épaule *.
    Un service en vaut bien un autre. Que dirais-tu d’un coup de main ? Je ne demande que gîte & couvert le temps de mes oeuvres.

    Répondre
  105. A Kornemuz
    L’argent est en effet source de biens des maux…
    tant l’hommes par leur cupidité et leur égoïsme ont déjà fait souffrir et même mourir pour quelques menues monnaies qui pour eux ne changeait que bien peu de choses, mais qui pour d’autre représentait la vie ou ne serait ce qu’un minimum de dignité, non pas de luxe ni de grand confort, mais de subsistance…

    C’est pourquoi j’ai plus d’une fois déjà accueilli gracieusement dans mon modeste estaminet * te lance un clin d’oeil * de pauvres voyageurs sans le sous ou en grande détresse, étant moi même passé par là dans ma vie déjà bien mouvementée…

    * un peu impressionné par tout ce matériel et bric à brac sorti de ton havresac *

    Waooouu… c’est une sacrée panoplie d’aventurier que vous transportiez là avec vous !

    Mais tu as raison, depuis que j’ai du fermer les portes le temps de ces deux dernières années, retrouvant cet établissement bien mis à mal à mon retour, j’ai bien travailler pour y remettre de l’ordre… Mais il reste toutefois encore relativement austère… Je te l’accorde.
    Je n’ai pas non plus fini de remettre en état toutes les chambres du dessus, ni les quelques salles du sous sol…

    Ton offre de m’aider à retaper, consolider j’imagine, et… embellir je présume…ces lieux… me plait, bien entendu, contre le gite et le couvert, ce serait un grand minimum… mais… à quelles modifications pensais tu exactement ?

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  106. Je ne sais pas encore, mais je vais, si tu le permets, passer une premiere nuit dans une chambre. Voila qui devrait me porter conseil quand aux menus travaux qui feraient de cet endroit une auberge encore plus chaleureuse.
    Mais je manque à la plus élémentaire des politesses. Je râle je râle et j’en oublie de me présenter. Tu sais certainement que les nains ne donnent leur vrai nom qu’aux amis, aussi tu ne t’offusquera pas si je ne livre que mon prénom; celui ci est Arkat, et je viens d’un port lointain.
    J’ai quelque chose de bien particulier à faire dans cette région, et je pense que ton établissement est un merveilleux pied à terre. La Taverne D’Hylst * ajoute-t-il en regardant pendre l’enseigne à travers la fenêtre *.
    Est-ce toi ce fameux Hylst ? Ou alors est ce de cette façon qu’on nomme un lieu digne d’interêt dans le coin ?

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  107. * te regardant avec attention *

    Arkat dis tu ? Et bien…
    Sois le bienvenu Arkat ! =)

    Hylst est en effet mon nom…
    Des origines… pas tout à fait humaine je dois avouer…
    Une histoire que je ne compte que rarement, longue, nécessitant une confiance que seul le temps à côtoyer peut accorder….

    Tu aurais… quelque chose de bien particulier à faire dans cette région ?
    Et bien… Aucun problème, celà restera à ta discrétion,
    mais tu peux considérer gite et couvert offerts en échange de tes services.

    Que dirais tu de faire le tour de l’établissement ?
    Tu pourras ainsi me dire dans quel chambre tu te sentiras le mieux pour t’y installer.

    (Tavernier)

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  108. La vie ne ma apporté que les choses dont elle ne se servait pas du coup je découvre avec la mort des plaisirs qui bien que connu de tous ne l’étai pas de moi, et même si voir une lyche faire des bulles de savon peux paraître drôle sachée que je prends un immense plaisir a tous découvrir.

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  109. A l’être Liche

    Il est effectivement des choses que notre seule vie, courte aux yeux des esprits éveillés et curieux, ne nous laisse pas le temps d’apprécier… Le plaisir de la vie aprèès … la mort, j’imagine… doit vous laisser le temps, bien plus de temps pour apprécier alors ce que vous n’aviez fait que frôler ou envisager auparavant !

    Ravi que vous y preniez plaisir !

    Quelques anecdotes peut être ?

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  110. Ha si j’en ai une qui m’a marqué, il y a quelque temps déjà, à cette époque ou les dragons étaient encor nombreux dans les cieux, je m’étais installé dans le Nord a la belle saison pour suivre la migration d’un poisson qui de la mer viennent pondre dans un lac, sur son chemin il rencontre mille et un obstacle ce qui fait en sorte que les plus vaillent on le droit de perpétuer leur ligné et les autres de nourrir les divers estomacs du secteur…

    J’écrivais sur ce sujet dans mon grimoire quand un groupe d’aventurier me prenant pour ce que je ne suis pas ne l’enserre un défi.

    N’aiment pas a cette époque les combats je leur proposai de partagé mon piètre savoir du monde avec eu.

    Et s’est la je pence qu’il y a eu une confusion, la ou je leur parlai découverte de la vie, eu comprirent apprentissages de sort puissants !!!

    Comprenez leurs erreurs et leurs dépits quant au bout de quelque moi il s’aperçurent, l’hiver venant que je ne contai ne leur parlé que de préparation de rot et de beignet flambé !

    Seul le petit homme poilu du groupe me resta fidèle pendant 367 ans, oui je l’ai un peut aider à continué sa vie…

    Et de temps à autre sont âme viens me proposer de nouvelle idée de recette donc nous débattons pendant des années…

    HA HA HA vraiment vous auriez du voir le dépit se dessiné jour après jour sur leur visage.

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  111. En effet, il faut dire que je ne connais pas beaucoup de personnes telles que vous qui soit devenu lyche sans autre désir que celui de découvrir les choses dela vie, c’est donc… un goût exacerbé bien au delà de la mort qui vous a poussé jusqu’à aujourd’hui encore !

    Cocasse idée que celle de cette méprise avec ce groupe d’aventurier vous ayant pris pour toute autre personne de toutes autres convictions…

    Dure réalité que celle de la survie des espèces et des représentants les plus rusés et les plus forts parmi eux. Heureusement, les humains, nains, elfes et nombre d’autre races ont fondé et établi des sociétés avec des règles plus ou moins bien établies, qu’elles soient morales, religieuses, politiques, ou convenues au cas par cas, nous permettant d’évoluer plus que que de survivre… Même si parfois… ce n’est pas toujours aisé, loin de là…

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  112. *Entre un homme calme et posé, de carrure moyenne, un baluchon sur l’épaule droite, vétu d’une bure bleue-nuit laissant à peine entrevoir un visage aux traits elfiques et arborant un air pensif et mélancolique. Il lance d’une voix sereine et douce : *

    << Hello, est-ce encore ouvert ? Il y a quelqu'un ? >>

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  113. * Une liche…attira l’attention d’aventuriers un peu barbares… mais de prêtres également… des morts vivants pour la défense de l’être Liche… un combat fit énormément de dégâts… une réputation altérer pour la taverne… Plus de clients pendant longtemps… Un temps employé à prendre le large… puis… un beau jour… le retour… remise en état approximatif… portes réouvertes… et là …. *

    * Le tavernier dans cuisine à dépecer une pièce de gibier *
    * alerté par une voix dans la sale principale, s’exclama *

    Oui ? Un instant, j’arrive de suite !

    * Rejoignant le comptoir de la salle principale *

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  114. Prenez votre temps, je suis éreinté, cela me permettra de reprendre mon souffle. J’accepterais n’importe quel breuvage tavernier, pourvu qu’il étanche ma soif sans me déchirer la gorge ou les narines.

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  115. * A la fois étonné et ravi de revoir du mode après cette longue fermeture *

    Ah ! Soyez le bienvenu !
    Cela ne fait que quelques temps que ma modeste taverne et réouverte après réparations, et vous êtes le 1er !
    Permettez moi de vous offrir un bon pichet mousseux de ma dernière création en terme de bière, fraîchement brassée !

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  116. J’en serais ravi, je pense même que c’est justement ce dont j’ai besoin.

    *Dit le voyageur, acquiesçant un sourire, en abaissant la capuche de sa bure, laissant apparaître un visage dont on a du mal à distinguer s’il est elfique ou humain.*

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  117. Bien !

    * Décrochant une large choppe, se baissant pour accéder au précieux fut sous le bar … *
    * observant son nouveau client *

    Des origines elfiques ?
    Je n’ai pas souvenir de vous avoir déjà vu dans les environs.
    Qu’est ce qui vous amène par ici ?

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  118. Moui, on peut dire ça. Du reste je vais là où le savoir se trouve, ou bien les éléments dont j’ai besoin. Je me suis fait surprendre par la nuit puis par quelques revenants. Je m’en suis sorti mais je n’ai pas attendu la suite et marché à pas rapide vers l’abri le plus proche. Je suis heureux d’être tombé sur cette taverne.

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  119. *Frappe fortement à la porte en bois brute de la taverne et s’engouffre aussitôt dans un courant d’air glacé sans attendre de réponse. Nymphéa lève un sourcil sceptique.*

    Il y a quelqu’un ?

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    • * Depuis le dernier passage de la horde sauvage ayant fait fuir toute sa clientèle, allant même jusqu’à détruire un des pans de murs de la taverne et saccager son précieux mobilier chiné et retapé avec patience, le tavernier s’était découragé après avoir du reconstruire une troisième fois son établissement. Il somnolait là, au pied de la cheminée éteinte telle sa bonne humeur coutumière d’autrefois…
      Même le pont donnant le meilleur accès à la taverne avait été détruit par pure sauvagerie chaotique… Plus de clients depuis. *

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  120. *Nymphéa se décida à entrer dans la taverne inquiétante. La pièce centrale était un peu chagrine. Le feu semblait éteint. Elle dressa l’oreille et enregistra un bruissement du côté de la cheminée. Elle y alla furtivement et prudemment, caressant la dague à sa cuisse à travers l’épaisseur de son manteau de voyage. Pas qu’elle ne soit très frileuse, au contraire, mais elle aimait vaquer en toute discrétion. Les elfes gris n’étaient pas les êtres les plus appréciés, surtout chez les humains. Ils avaient cet regard un peu fixe, trouble, un corps en suspension, chétif et ramassé. On les soupçonnait de rôder aux alentours des villes humaines et de kidnapper les enfants pour satisfaire d’étranges rites macabres. Ils n’avaient pas bonne réputation car on les voyait peu et leur existence recluse dans les marécages infestés était nimbée d’un mystère sourd et funeste.

    En s’approchant de la cheminée, elle vit le tavernier endormi près de la braise. Elle eut un drôle de rictus sur son visage habituellement impassible et émit un petit sifflement vif pour voir s’il se réveillerait. Elle l’entendait respirer.*

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  121. * le tavernier proche de l’âtre sortit non sans difficulté de son sommeil, probablement éveillé par ce courant d’air certes bref mais glaçé qui lui fit l’effet d’un frisson de la tête aux pieds…*

    Que… Je…. Ooohhh… J’ai du mal refermer la porte * bougonna t-il *

    * Il entreprit de se relever dans cette pièce bien sombre à cette heure entre chien et loup *

    Pffff… Fut-un temps où ma taverne aurait été bondée et bien animée à cette heure là… * Souffla t-il … *

    * Et en se tournant vers la porte, il se frotta les yeux, non… il n’avait pas la berlue… Quelqu’un dans sa taverne ! *

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  122. *Nymphéa était dubitative… Le tavernier ne semblait pas à son aise, endormi ou dépressif ? Elle eut un éclair d’hésitation, forcer son réveil ou faire demi-tour dans le frimas de cette demi-saison, mi-automne en retard, mi-hiver en avance… La route était encore longue jusqu’à Forges-les-Bois et bien qu’elle soit vaillante, elle était lasse d’avance à l’idée de dormir dans la raideur des arbres et courir le gibier sous la tempête qui se présentait. L’énorme âtre de la cheminée lui faisait de l’oeil, elle en sentait déjà la générosité chaude et amène jusque dans ses doigts transis.*

    – mmmrhhgh… *se racle la gorge* …tavernier ! *Elle délogea sa chevelure de sous sa capuche pour ne pas trop l’effrayer d’ombres. Elle avait la peau d’un gris argile clair, tendant presque vers le vert, qui variait étrangement selon la chaleur – plus que la lumière, des cheveux noir d’ébène, funèbres corbeaux ivres et élancés auréolant son visage hâve, un nez fin et saillant, des yeux sombres d’une teinte indéfinissable et une bouche pleine, étonnamment sensuelle vu l’âpreté du portrait.

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  123. * certes non, il n’avait pas la berlue… et pourtant… la vision peu commune de cette voyageuse d’une singularité à la fois inquiétante et gracieuse insinua un instant encore le doute dans son esprit embrumé…*

    Je… Oui ! euh… bon…
    Excusez-moi…

    * Un peu confus et gêné… *

    Je ne m’attendais pas à une venue … C’est que… mon établissement est en bien piètre état… je pensais qu’avec le pont détruit… l’accès n’est guère aisé…

    * Un vent vif d’une froideur saisissante dehors pénétrait à travers les interstices des murs et de la toiture encore en partie endommagée suite au saccage de la horde sauvage, en sifflant et vrombissant… Les flammes dans la cheminée dansaient, parfois chahutées par un insolent courant d’air que la taverne fragilisée ne contenait plus… *

    J’ai … Oui… le temps est terrible dehors…

    * Tapant ses habits un peu poussiéreux, se refagotant un peu… se redressant… *

    Qu’est ce… qu’est ce qui vous amène par ici … m… madame… ?

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  124. *Nymphéa le jaugea encore quelques secondes, indécise. Puis elle se dénoua soudain, relâchant un peu ses épaules et affichant un sourire diplomate*

    – Je cherche un endroit où dormir cette nuit, je serais heureuse s’il m’était possible d’éviter cette rude tempête à ses heures les plus sombres. *Elle laissa traîner son regard sur le tavernier quelques secondes, le détaillant plus personnellement*

    *Léger silence perplexe* Bien sûr, je peux me contenter d’une couche rustique et d’un feu de cheminée, si cela est encore possible pour vous ? *Dit-elle en détaillant le lieu en déclin.* J’ai de quoi vous régler, votre prix sera le mien.

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  125. Oh… oui… la tempête dehors… bien sûr… c’est que… ma taverne n’est plus vraiment digne d’accueillir…

    * le tavernier songeur balaya du regard sa grande salle, puis reposa son regard un instant sur elle, soupirant… *

    Bien entendu, l’heure est tardive, mais je puis vous laisser ma place au coin du feu, vous semblez vraiment fatiguée et probablement quelque peu transie par le froid qui règne là dehors cette nuit…
    Je ne pourrais décemment pas vous demander quoi que ce soit en retour pour si maigre confort. Acceptez mon hospitalité.

    * lui désignant le lieu où il dormait céans *

    Peut-être en retour pourriez-vous me raconter ce que votre voyage dans les alentour vous aura fait découvrir…

    Je vais chercher du bois dans ma cave, le feu n’est plus guère vaillant …

    * se dirigeant vers une trappe à quelques pas de là, marquant un arrêt, puis se retournant… *

    Je peux vous proposer un peu de soupe d’ortie accompagnée d’un peu de lard et de pain de seigle si cela vous convient. Je crains pour l’heure de n’avoir guère plus à offrir…

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  126. *Nymphéa remarqua la légère contrariété du tavernier, ne sachant s’il s’agissait de sa venue à une heure tardive ou l’état de la taverne qui l’agaçait ainsi, ou peut-être bien les deux. Elle décida de ne pas en tenir compte et d’être aussi joviale que possible – c’est-à-dire plutôt froide mais polie.*

    Je peux vous assurer que c’est plus que de l’hospitalité que vous m’offrez là mais un véritable sauvetage vu la tempête qui gronde. *elle eut un léger rictus au coin de la bouche en proférant ce mensonge, sachant très bien qu’elle aurait pu tenir dehors mais elle se sentait trop lasse pour être téméraire ce soir. La lumière de la taverne vue de l’extérieur était un véritable signe des dieux en ces contrées. Elle la prit comme tel en tout cas.*

    Tout me conviendra tant que je peux me réchauffer quelques heures près de votre feu. Je vous remercie pour cette soupe, cela ira très bien.

    *Nymphéa n’était pas loquace mais elle pouvait bien faire un effort…*
    C’est entendu pour quelques bavardages… *le disant d’un ton qui laissait entendre que c’était là perte de temps et d’énergie mais qu’elle acceptait tout de même l’offre. Elle défit son manteau si glacé qu’il tînt d’un bloc près du feu et elle s’installa. Elle portait une tenue d’homme, un pantalon sombre et une cotte de maille très légère et finement tressée, une allure grave et sentencieuse. Elle ferma les yeux et se détendit, plongée dans ses pensées.*

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  127. Ouvrant la trappe, le tavernier emprunte un escalier dont il descend les marches tout en parlant, sa voix résonnant et s’affaiblissant à la mesure de l’éloignement, s’enfonçant dans la cave : *

     » Bien, je suis ravi que cela vous convienne. Il y a bien quelque temps que je n’ai plus reçu de visite en ma modeste taverne autrefois bien plus accueillante et bondée…  »

    remontant quelques instant plus tard les bras chargés de bois… *

     » Voilà qui devrait alimenter comme il se doit le feu pendant quelques heures…  »

    Il disposa le bois dans l’âtre au milieux de quelques braises, le retournant plusieurs fois de son tisonnier… la flamme repris… timide… attisée par quelques brindilles, puis rapidement, embrasa une ou deux belles bûches… *

    Ce faisant, il reprit : *

     » Alors donc… je ne vous oblige pas non plus, c’est juste que je m’interroge sur ce qu’il y a à proximité et un peu au delà de ces lieux, n’ayant plus voyagé depuis belle lurette, me consacrant avec le courage déclinant qu’il me reste à retaper progressivement mon établissement… « 

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  128. Kierkegaard, un monstre gigantesque vêtu d’une peau de dragon se dirige vers la taverne en faisant résonner sa mandoline accompagnée de son kazoo. Il pousse la porte et y passe sa tête encapuchonnée, laissant retomber son kazoo sur son torse, il lance doucement :

    -Bonsoir, serait-il possible d’animer un peu votre soirée en échange d’un repas?

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  129. non loin de là, s’approchant de l’auberge, quelques notes de cordes pincées et gratter résonnent…

     » Ah ? Vous entendez ? Quelqu’un d’autre ici à cette heure ?  »

    au bruit de la porte s’ouvrant, un courant d’air bien froid pénétrant, le tavernier se retourne

     » Mais… Oh…  »

    impressionné par la tête imposante faisant irruption dans l’encadrement de la porte

     » Euh… et bien… oui.. Je vous en prie, entrez ! 😅 « 

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  130. Le monstre passe son corps entier par l’embrasure de la porte qu’il referme derrière lui, notant les frimas des deux occupants.
    -Bien le bonsoir, excusez cette intrusion… et mon aspect physique.
    Il s’assoit sur une banquette qui a encore ses quatre pieds gratte quelques accords et demande :
    -Vous avez une préférence pour la musique?

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  131.   Le tavernier fronce les sourcils, marquant un léger mouvement de recul en apercevant le colosse au physique plutôt ingrat de prime abord franchir entièrement le pas de porte

    « Euh… Soyez le…. bienvenu…. Je vous serai juste gré de ne pas dégrader davantage ce qui reste de ma taverne hélas dévastée une fois de plus… de trop peut-être… »

    « Moi qui pensais ne plus recevoir de visite de si tôt… »

    « Entre le marécage au nord-est, la forêt des tourments au sud et le déferlant fleuve d’outre-Cîmes à l’ouest… Et puis… le pont chevauchant ce dernier en grande partie détruit… »

      Soupirant

    « Aaahhh…
    Le petit havre de sécurité que mon modeste établissement représentait pour les voyageurs d’ouest en est… n’est guère plus emprunté… surtout après avoir été… »

      le tavernier se raidit, fulminant,
      arborant un bref instant un rictus mêlant colère et désespoir.

    « …saccagé par ces brutes épaisses… »

       songeur

    « J’ai bien entrepris une nouvelle fois quelques réparations urgentes…
    Mais il y a tant à faire… »

       secouant la tête, se reprenant

    « Oh excusez-moi, je vous ennuie avec mes histoires…
    Vous me disiez ?…
    Au oui !
    De la musique ? Et bien… ça me changera de ce silence pesant …
    Avec …. plaisir… ce qu’il vous plaira…. d’apaisant.

    Merci ! »

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  132. Le monstre entame une mélodie douce, ajuste l’accordement et se met à jouer calmement.

    Après quelques minutes, tout en continuant se balader dextrement ses doigts immenses sur le manche fin de sa mandoline, il demande :

    “Pardonnez-moi monsieur mais… Auriez-vous… besoin d’aide ? Pour les réparations ou la gestion des brutes épaisses ?”

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  133. * S’apaisant en appréciant la douceur de la musique jouée par Kierkegaard *

    “Vous jouez remarquablement bien, c’est agréablement surprenant !”

    “Et bien… ”

    “Bien volontiers, mais.. il y a tellement à faire !
    Et puis… je crains de ne plus avoir la clientèle régulière des années passées qui permettait à mon modeste établissement de vivre, d’autant que le pont chevauchant le fleuve d’outre-Cîmes à l’ouest a été détruit, et que le chemin de voyage à travers la forêt à l’est s’est bien densifiée, parsemée de végétations sauvages corrompues et vindicatives suite au passage d’un mage noir de la pire engeance il y a quelques semaines…”

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  134. Kierkegaard interrompt un instant sa mélodie, tête basse, il passe l’une de ses monstrueuses mains dans ses cheveux afin de recouvrir un peu son visage.

    « Je ne vous serai d’aucune aide concernant la conception d’un pont, mais… Comme vous pouvez le voir, je suis muni de bras puissants *pause* Et des mains habiles. »

    Il reprend sa mandoline, en modifie l’accordage et fait naître une nouvelle mélodie d’arpèges plus rapides, puis reprend :
    « Quant à la végétation cavalière, j’ai dû me dégager un passage pour pouvoir arriver ici, je pense pouvoir m’en occuper le tant que vous trouviez un mage. *Jette un œil discret vers Nymphéa*
    Maintenant, je vais laisser l’Elfe se reposer… »
    Il ralentit alors le rythme de ses arpèges pour changer sa mélodie vivace en berceuse calme.

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  135. Observant Kierkegaard, encore impressionné, puis Nymphéa, semblant plus apaisée elle aussi.

     » Et bien… je n’ai pour l’heure pas grand chose à vous offrir pour vos services mon brave… « 
     » Je me suis fait pour le moins piller … »
     » Il faut dire qu’une taverne telle que la mienne, bien à l’écart des villes et villages… »
     » J’ai un peu … perdu aussi de l’énergie folle qui m’habitait il y a encore quelques années.. »
     » Dans l’immédiat, pour votre confort, je puis vous proposer également, une soupe d’ortie au lard accompagné d’un peu de pain de seigle. »

     » Je crains toutefois de n’avoir chaise… en état … adaptée à votre carrure… » esquissant un rictus amusé…
     » Mais il doit me rester quelques couvertures bien chaudes. Le sol est à peu près nettoyé… »

    « Qu’en dites vous ? »

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  136. Le visage disgracieux du monstre se déforme en ce qui semble être une sorte de sourire :
    « C’est bien urbain de votre part, mais je ne dors pas. Quant aux couvertures, j’ai là une peau de dragon des plus chauffantes merci. »
    Les doigts énormes saisissent le manche de la mandoline. Alors qu’il baisse la tête le temps de l’attacher dans son dos, Kierkegaard murmure :
    « Je voudrais bien un bol de soupe cela dit, je n’ai plus mangé depuis plusieurs jours… »

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  137. ” C’est entendu, un tour en cuisine et je reviens vous apporter tous deux… ” se tournant de Kierkegaard à Nymphéa,
    ” …de quoi vous ragaillardir et vous réchauffer ! ” empruntant une expression joviale qu’il croyait avoir perdu depuis.

    Tournant les talons, le tavernier se dirige vers la porte battante de la cuisne, rangeant sommairement au passage sur le côté ce qui reste des 2 à 3 tables et quelques chaises non démantelées suite au passage de la horde …

    ” Excusez-moi pour le désordre… je… non… nous verrons… chaque chose en son temps… ”
    ” Profitez donc de l’âtre, je reviens le temps de réchauffer la marmite… “

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  138. Le monstre se lève pour s’approcher de l’âtre. Alors qu’il sent la lumière lui chauffer l’horreur qui lui sert de visage, il rabat sa capuche sur son crâne. Il attrape alors un tisonnier pour raviver la flammèche puis, aussi discrètement de les ombres reflétées sur les murs, commence à ramasser les débris de table afin de les ordonner un peu. Se servant des plateaux de table, il érige un semblant de mur afin de couper l’entrée du vent froid.

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  139. Le tavernier rejoint la cuisine, elle aussi particulièrement dévastée, réserves volées, quelques outils dérobés, plan de travail défoncé…
    La marmite, solide, a survécu…  Il allume le feu, y place à nouveau la marmite vide, la remplit à un tiers d’eau…
    Il rejoint sa réserve dont il ouvre une petite cache camouflée pour en récupérer quelques ingrédients, passe dans une pièce voisine y récupérer 2 grands bols, cuillères et couteaux avant de rejoindre la cuisine.
    Dans un grand bac d’eau, il lave bols, couverts, puis les quelques ingrédients réunis…  
    Sur la seule partie épargnée d’une grande table, le tavernier hache grossièrement avec le seul couteau rescapé de cuisine,

    ‘tchac tchac tchac tchac tchwich tchac iiiiiiii ‘…

    quelques patates, du lard et des oignons un peu germés qu’il lui reste, qu’il jette dans une poêle malmenée avec un peu de graisse animale de la veille qu’il place sur la flamme, remuant, touillant….  

    Il lave à nouveau puis émince rapidement une bonne dose de jeunes orties fraîches de la cueillette du matin, ainsi qu’une petite dose de coriandre.
    Il retourne, fait sauter quelques bonnes minutes encore le contenu crépitant de sa poêle, avant de le verser dans la marmite à présent bouillonante quelques minutes plus tard.
    Il y jette alors les herbes, puis remue amplement et lentement l’ensemble, y parsemant enfin le peu de sel et de baies de poivre noir concassées qu’il lui reste…

    A la louche il remplit généreusement les deux grands bols, qu’il place sur un grand plateau de bois, avec cuillères, 2 couteaux et 2 bonnes miches de pain de seigle…

    Direction la grande salle…

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  140. Une fois la barricade de fortune installée, Kierkegaard se dirige vers l’orée de la forêt et récolte quelques lianes en espérant qu’elles suffiront à maintenir la surface debout. Le monstre les noue habilement à l’extérieur du mur provisoire, puis en ramasse une brassée (une bonne brouettée aux vues de la taille de ses bras) puis retourne à l’intérieur dans le but de consolider ses réparations. Il espère que le mur de remplacement tiendra le temps d’en ériger un nouveau, plus solide, si le tavernier vient à accepter sa proposition…

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  141. – « Et… deux grands bols de soupe bien chaude et du pain ! » annonce le tavernier en rejoignant la grande salle avec un plateau bien rempli sur le bras.

    Il dépose une serviette sur le sol à côté de Nymphéa et y dispose bol, couverts, et pain.

    Se retournant pour faire de même auprès de Kierkegaard, surpris par cette installation nouvelle bien que temporaire, s’exclame :

    – « Oh !! C’est vous qui avez fait cela ? Impressionnant en si peu de temps ! Voilà qui devrait mieux contenir le vent froid déferlant dans la salle. « 

    Adressant un sourire reconnaissant au colosse :
    – « Merci bien pour votre aide ».

    Déposant de quoi sustenter un peu Kierkegaard à côté de lui :
    –  » J’espère que ceci vous conviendra, mais j’ai gardé encore de la soupe sur le feu si vous en souhaitez encore.     Vous êtes mes invités, même si mon accueil ne saurait être encore digne de voyageurs probablement fourbus tels que vous. »  ajouta t’il l’air désolé.

     

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  142. Kierkegaard s’assoit devant son bol de soupe et remercie l’aubergiste, toujours tête basse.

    « J’ai fait en sorte de n’exposer que les dessous de table à l’extérieur, elles pourront resservir dès que le mur sera remonté… en théorie… Merci infiniment pour la soupe »

    Il engloutit le bol en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

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    • « Oh ? Très bien ! Cela fera l’affaire en attendant oui…
      Espérons que le temps soit plus clément un jour prochain…
      Il y aurait tant à faire…
      Réparer ce mur et un autre au nord, la grande porte qui ne tient plus guère, la toiture par laquelle ils ont propulsé je ne sais comment un gobelin dégénéré qui a saccagé mes combles… la cuisine en piteux état qu’un disciple de Nurgl a infesté d’immondices, mes quelques chambres dévastées… .. .
      Mais quel en serait encore l’intérêt si … les voyageurs ne peuvent plus emprunter le pont ni ressortir par le chemin forestier à l’est d’ordinaire plutôt sûr ?
      J’avais bien un apprenti … qui hélas n’y a pas survécu…
      J’ai déjà fait nettoyage sommaire mais…
      Bref…
      Je vous raconte tous mes malheurs mais… je pourrais peut-être vous resservir à nouveau un bon bol de soupe si ça vous dit ? »

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  143. Kierkegaard jeta un regard en direction de l’elfe qui sirotait sa soupe en silence avant de se lever, bol en main :
    « Merci, mais je vais aller me reposer dans le coin là-bas jusqu’à demain, c’était délicieux, merci infiniment »
    Il s’éloigne et s’adosse au mur de fortune.

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  144. A Kierkegaard :

    – « Ravi que ça vous ait plu. Votre aide m’a redonné un peu de cœur à l’ouvrage.
    Je vais reprendre le rangement et nettoyage de la cuisine qui en a grand besoin.
    Si vous avez besoin de quelque chose, vous pourrez tirez cette chaine : je vous entendrez.
    Bon repos.  » dit le tavernier en désignant une chaine reliée à une cloche accrochée au plafond par l’intermédiaire d’une poulie.

    Se tournant vers Nymphéa :

    – « N’hésitez pas non plus à me sonner en cas de besoin Madame.
    Il reste encore du bois dans le panier ici si la flamme venait à faiblir… »

    Esquissant ostensible courbette, il tourne les talons direction la cuisine.

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  145. La stature du géant était colossale et rappelait à Nymphéa de vieux souvenirs de guerre. Malgré sa peau lisse aux reflets olive, elle approchait presque le statut d’ancêtre pour son peuple d’elfes des marais. Son caractère taciturne lui venait certainement de cette trop grande vie déjà remplie de discordes et de querelles perpétuelles entre les peuples. Elle avait vécu plus d’amertumes que de douceurs.

    Il lui semblait avoir déjà entendu le nom de Kierkeegard par le passé, mais c’était trop loin dans le temps pour que sa mémoire en garde de trace. Le nom lui évoquait un ressenti douloureux. Le visage, ou plutôt, la gueule du géant était parsemée de boursouflures, de rides et de traces d’entailles mais elle trouvait cette face-carte plutôt intéressante à étudier, imaginant les milles vies qui s’y reflétaient. Contrairement à lui, elle arborait un visage juvénile qui contredisait son âge, trompant l’adversaire sur sa nature guerrière et hostile. Mais elle savait d’instinct que les autres êtres la craignait inconsciemment à cause de cette odeur aigre de marécage qui lui collait au corps. Elle créait de la confusion dans les esprits, entre sa beauté dure et ce je ne-sais-quoi de danger vivace et sournois qui l’auréolait.

    Elle n’ouvrit pas la bouche durant toute la conversation entre le tavernier et l’ogre, détaillant les protagonistes avec attention. Elle étudiait le lieu, mémorisait les objets, écoutait avec son ventre les dires de chacun, campait sur ces gardes, silencieusement. Le tavernier lui tendit un bol de soupe chaude qui lui brula délicieusement les mains et adoucit son humeur. Surtout les morceaux de lard. La musique acheva de la détendre et elle se laisse plonger dans une douce torpeur, gardant malgré tout une oreille attentive, comme un chat qui semble dormir et s’éveille d’un sursaut sous un bruit que personne d’autre n’aura saisit.

    La nuit se passa ainsi jusqu’au petit matin. Chacun campant dans son espace. Les oiseaux semblaient vivre dans la taverne tant leurs chants et leurs pépiements étaient forts et distincts à l’intérieur. La baraque devait être ouverte de partout, vraiment fissurée et cabossée pour que la nature s’invite de la sorte. Le vent s’était calmé pour l’instant et les rayons timides du soleil cajolaient la peau de Nymphéa qui gardait les yeux fermés. Elle ressenti la présence chaude des deux autres occupants dans la taverne sans avoir à ouvrir les yeux. Elle était de meilleure humeur que la veille et se leva dans un silence parfait, laissant quelques affaires pour faire comprendre à ses hôtes qu’elle serait de retour dans quelques temps et fila en direction de la forêt, sortant par l’arrière de la taverne car l’entrée principale était bouchée par la construction sommaire de l’ogre.

    Elle revint quand le soleil fut au zénith, les épaules chargés d’un cochon sauvage et quelques lapins accrochés à son bras. Elle jeta tout cela sur le reste de tablée centrale. Elle avait eu le temps de prendre un bain dans la rivière et de méditer quelques pensées et décisions à venir.

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  146. Kierkegaard est réveillé par la présence d’une oiseau sur son épaule. Il ouvre les yeux mais reste immobile, l’oiseau lui picore le visage, provoquant un léger rire
    -Et bien, voilà un petit courageux, murmure-t-il à l’adresse de l’oiseau téméraire en tendant son doigt énorme sur lequel la bête à plume se pose.
    Le colosse se lève ensuite et fait un rapide état des lieux du mur temporaire. Une fois l’oiseau parti, il ramasse quelques affaires et sort faire un tour dans les environs afin de repérer les endroits où il pourrait trouver de la matière première.
    Il passe ainsi une grande partie de la matinée à marcher, récoltant quelques pierres. Il ramasse également quelques baies, plantes et autres racines comestibles avant de retourner vers l’auberge.

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  147. Le Tavernier passa une bonne partie de la nuit à trier et débarrasser la cuisine, son débarras et sa réserve de tous les ustensiles, meubles, et autres possessions terrestres saccagées qui les jonchaient encore…
    Recyclage du peu de nourriture qui restait pour nourrir la seule poule et le cochon blessé qui lui restaient.
    Récupération de planches et poutres de bois pour chauffage ou menue réparation, du métal pour refonte dans son ancienne forge au 2 ème sous sol…
    Balayage en règle…

    Il y passa le plus gros de la nuit… Regagnant exténué la grande salle juste au moment où, dans la nuit encore noire dehors, le feu dans l’âtre menaçait de s’éteindre.

    Ses deux invités semblaient assoupis.

    D’un jet de petit bois et de quelques habiles balayages de tison, il raviva la précieuse flamme, qu’il nourrit alors de quelques bûches bien sèches en prenant garde de ne pas réveiller Kierkegaard et Nymphéa.

    La lumière d’une lune blafarde perçait timidement entre deux poutres de la haute charpente de la salle, à la faveur d’un toit mis à mal.

    Il alla s’installer avec une grande couverture dans un coin du comptoir, ou du moins, de ce qu’il en restait. Il ne tarda pas à sombrer dans un sommeil profond, rassuré par ces deux présences singulières dans sa taverne encore en piteux état.

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  148. À quelques pas de l’auberge, Kierkegaard remarque la porte fracassée. Il se hâte de cacher ses récoltes à un endroit hors de vue du commun se racle un peu la gorge et s’avance vers le bâtiment en s’étirant les bras, épaules et nuque, il pousse quelques grognements rauques afin de prévenir (et avec un peu de chance d’effrayer) toutes présences hostiles dans les lieux.

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  149. Jetant un coup d’œil circulaire à la pièce constatant que l’espace autour de l’âtre n’était plus occupé par ses deux invités de la veille.

    « Oh ! Vous ?! Que… » balbutie le tavernier encore un peu sous le coup du sommeil

     » Waouh ! Quel cochon !! Et ces lapins !!!  »
     » Chasse du matin ? Si tel est le cas vous très douée tant le gibier s’est raréfié ses dernier temps !! « 

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  150. * Après avoir erré des jours durant dans la forêt voisinante, sans le sous, détroussée pas des brigands sur le chemin *
    * Un peu désœuvrée, Elendrielle, mi-humaine mi-féline, élancée, au poil roux, oreilles de chat, doigts longs aux ongles griffus, boitant, semble blessée à la jambe *
    * Je m’approche un peu inquiète de la bâtisse assez délébrée qui d’après son écriteau branlant semble être une taverne *
    * Je frappe à la porte *

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