Post jeu de rôle
Rédigé il y a plus de 20 ans sur un blog aujourd’hui perdu (hébergeur down)
N’en demeure que l’écrit initial, et hélas plus les commentaires qui ont suivi, alimenté l’histoire…
Mais pourquoi ne pas reprendre ?
Un conte commun : le récit ! 🙂
Un conte commun : les commentaires ! 🙂
Laissez moi vous conter une histoire, ou du moins…
laissez NOUS conter une histoire,
laissez VOUS y prendre part 🙂
Car je ne ferai que l’amorcer et y participer par passages ultérieurs…
Ce conte, cette histoire, j’aimerais que ce soit la nôtre,
Moi et Vous qui me faites le plaisir de vous balader régulièrement aux gré des articles de mon joueb 🙂
Les commentaires seront le corps du message, cet article n’en fixant que le principe pratique et l’introduction.
Vous êtes libres 🙂
Si vous avez des commentaires hors jeu / histoire, il y a un autre article prévu à cet effet dans la rubrique jeu de rôle.
Appliquez vous un minimum à l’histoire,
sinon… gare au méchant modérateur correcteur voir .. ééééélimina-TEUR !
Notre histoire donc…
Il était une fois il y a bien longtemps de cela, dans un petit royaume bien isolé,
installé au beau milieu de terres qui ne laissaient pousser que quelques rares mauvaises herbes et un seul
et même genre d’arbre fin, et sinueux au feuilles frêles et écorchées.
Ce royaume était isolé du reste du monde tant la terre aux alentours en ces régions n’était fertile.
A perte de vue, on n’y voyait que cela…
Des arbres mourants, une terre cendreuse, des herbes folles qui poussaient par rares endroits de manière chaotique.
Un spectacle de désolation en sommes.
Mais ! Au beau milieu de ces terres maudites, il y avait ce fameux royaume isolé.
Un royaume, ou plutôt une vaste ville fortifiée, construite sur une montagne…
un cratère de volcan même !
Au milieu de ce cratère était un lac, un lac dont l’eau était d’une pureté quasi divine.
Cette eau permettait à elle seule, par ses propriétés, l’épanouissement du royaume, de cette vaste ville.
Cette ville…
On n’y compte plus et ce depuis bien longtemps, les générations humaines qui s’y soient succèdées.
On a certes de vagues idées très disputées quand à la légitimité des familles soit disant fondatrices de ce royaumes.
mais… en parler n’amène souvent que discorde et jalousie parmi les habitants d’ordinaire plutôt paisibles de cette citée.
… à suivre 🙂 …
Pendant toutes ces générations jusqu’alors, un petit village au départ, était devenu petite ville, puis de jour en jour,
la ville grandit, jusqu’à couvrir l’ensemble du cratère. A partir de là, la place commença à manquer.
Dans le cratère de ce volcan, les population étaient à l’abri des vents de cendres et de pluies acides,
installés sur ce cratère de roche, roche recouverte d’une très profonde terre des plus fertile.
Au centre de ce cratère, un petit lac, un étang pourrait on peut dire, s’étendait de manière quasi circulaire,
sur près d’une lieu de diamètre. Un petit lac dont l’eau brillait d’une clarté surnaturelle, une clarté rassurante, bienfaitrice.
La proximité de cette eau et le fait de la boire soignait les maux, les maladies et ralentissait la vieillesse.
Les générations d’habitants de ce royaumes se succédaient donc à un point que le roi instaura deux lois :
La consommation de l’Eau devait être rationnée à un demi litre par habitant, toute utilisation comprises.
Chaque couple n’avait le droit qu’à un enfant sauf dérogation royale attribuée qu’en de rares occasions.
Cette Eau comblait la soif beaucoup plus efficacement que n’importe quel autre eau ou liquide.
Les cultures certes fertiles sur ces terres prenaient de la place dans cette ville.
Les générations se développant, les habitations se voyaient progressivement solidifiées et affublées de nouveaux étages pour acceuilir tout le monde.
… à suivre 🙂 …
Tout autour de la ville, sur la crête du volcan, s’érigeait une splendide muraille de pierre Maldorienne.
Cette pierre, maintenant si rare, est un alliage naturelle de fer de et pierre ce qui la rend extrêmement solide.
Cette muraille date de l’ancienne époque, ou les guerres fessaient rage et ou le ciel s’était assombris.
Elle était criblée de meurtrière, sa paroi intacte malgré son âge, sa couleur était pâle comme le sable, et tout les 1000 pas une tour s’élevait et renforçait le sentiment de puissance que dégageait déjà la muraille.
Sa forme laissait pensée qu’elle avait été crée par les Dieux car elle était parfaitement circulaire.
De nombreuses portes étaient comme incrusté dans la pierre faite d’acier elle paraissaient indestructibles.
(par amalgach)
Ce royaume, cette vaste ville si bien protégée par ces murailles hors du commun, cette ville à forte densité de population, où les étages des batisses chaque jour grimpaient en nombre et en hauteur, cette cité à l’eau si précieuse, isolée d’autres landes fertiles, avait un nom :
Cette belle citée isolée, royaume très reculé, très indépendant, se prénommait Ambriande, ou la citée du volcan à l’Eau Précieuse