Douceurs d’une journée…

Douceurs d’une journée…

Vendredi (11/02/05)

Lorsque le matin on s’éveille peu à peu, émergeant d’un rêve nous ayant transporté, libéré toute une nuit durant, reposé, se complaisant sous la couette, sous les draps, cocon de chaleur, doux, tendre, l’esprit libéré, tout juste embrumé, sur un nuage, de la naissance de la conscience d’une nouvelle journée, de nouveaux espoirs. Quelques minutes… et quelques minutes encore… 
S’étirant, sentir son corps peu à peu se réveiller, se sentir exister, un peu comme renaître :o)

Rencontrer les personnes qui nous sont chères, amis, camarades, collègues enjoués, partage, plaisanteries, complicité, clin d’oeils, regards expressifs, répartie, cohésion humaine, excentricité, se laisser aller, en confiance, le respect sans le doute. :o)

Lorsqu’après une journée à courir, sans cesse sollicité, on prend ne serait ce que quelques minutes, déshydraté, pour un thé bien chaud ou au contraire d’une boisson bien fraîche, le temps de respirer, de se poser, de ne plus penser au travail, aux études, aux impératifs, aux soucis que l’on a. L’instant du repos, celui où l’on se relâche. :o)

Au beau milieu d’une dure journée, se dire que l’on va bientôt retrouver sa famille, ses amis les plus proches, pour une soirée, un week end, ne serait ce que le fait d’y songer, au milieu de moments difficiles à passer. Un sms, un mail, un coup de fil, reçu d’une personne qui nous est cher et qui ne nous en avait plus donné l’habitude, qui nous montre qu’elle pense à nous, attention et sollicitude, se savoir considéré, se savoir apprécié, que l’on pense à soi… :o)

L’instant ou après une rude journée de labeur, courbaturé et fatigué, on se libère des ses atours, l’on se baigne, eaux chaudes et mouvantes, sels de bains, couleurs et parfums, se nettoyant de cette journée, se laissant aller. Massages…soin de soi, de son corps… une musique, qui nous requinque… :o)
Quand même dans les moments où tout semble aller de travers, quand tous nous semblent antipathiques, que l’on a l’impression de ne plus savoir à qui parler, ni à qui faire confiance quand on se sent triste, qu’en soir un vide, un cœur, une âme se paralyse, de refroidit, cœur étouffant… quand rien ne va… mais que l’on a…. un amour :o) Un amour dont on sais la complicité, le fait que l’autre pense à nous, que dans peu de temps on le/la retrouvera, que l’on pourra se confier à lui/elle, que l’on pourra l’étreindre avec force, ou plus tendrement, l’enlacer, la/le prendre dans ses bras, se laisser aller, pleurer, rire à gorge déployée même, l’embrasser, sans se préoccuper du jugement d’autre, car lui/elle nous connaît. Complicité, moments tendres, effusions de sentiments, partages de moments privilégiés, confiance, soutien, présence, chaleur, union de deux corps,  union de deux âmes, dormir, l’un contre l’autre, en harmonie, le sourire aux lèvres… :o)

A suivre…

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