Quand je parle de poème, on pourrait s’imposer une suites de sonnet, un poème à mesures fixes fait de quatrains ? d’alexandrins ?
Optons … pour une versification en Alexandrins.
Pour guide de rédaction de ce qu’est un Alexandrin, je me bornerai à recopier le descriptif suivant issu de ce site bien pratique qu’est www.toutapprendre.com :
Dans sa forme classique, l’alexandrin est formé de deux parties égales appelées hémistiches (du grec hémi : moitié, et stichos : vers), séparées par la césure (du latin coupe, coupure) :
Pour calculer le nombre de pieds d’un vers, il faut connaître la règle du e muet : il se prononce quand il est suivi d’une consonne, et s’élide quand il est suivi d’une voyelle ou bien lorsqu’il se trouve à la fin d’un vers.
Avec ces quelques exemples d’alexandrins, je vous invite donc à prendre part à un poème en alexandrins à rimes croisées.
Un commentaire pour un vers.
Pas deux commentaires consécutifs par la même personne, mais entrelacés, sans problèmes.
Telles seront les règles.
Au delà de ça, les aboutissants de cette composition collective dépendront de l’imagination de tous ces participants.
Je me lance donc sur le 1er vers :
Voici donc venu l’instant pour nous de songer
(hylst)
Aux temps présents, à venir, ainsi que d’antan
(Alkhazar)
de laisser son esprit s’enfuir et s’évader
(Indrae)
Comme une pétale de rose qui s’enfuit dans le vent
(Sir River du 86)
S’accrocher à ces rêves que l’on ne veut pas voir fuir
(c.myrand)
Vouloir prendre le temps de caresser le temps
(c.myrand)
comme la rose quel bonheur, de la voir rougir
(anonyme)
DES ALEXANDRINS NOUS NOUS SOMMES ÉLOIGNES MAIS… NOUS POURRIONS POURSUIVRE SUIVANT LES RÈGLES 🙂 🙌
Qui prend la suite ?