Conscience du mal

Conscience du mal

Dans ces contrées pour lesquelles tant de personnes,
se sont engagées à construire leur chez soi,
à dresser des cités, une organisation sociale,
pour une vie en communauté la plus agréable possible…
Certaines personnes,
de mauvaise graine,
ont su profiter de la bonté des autres,
s’approprier par la ruse,
si facile face à l’effort,
le fruit de leur labeur pour peu ou rien,
à leur détriment.

Il se sont enrichis,
avares et espiègles,
et entraînés autour d’eux la méfiance …

Ces actes ont suscité chez d’autres l’indignement…
et le suivi…
la vie facile sur le dos des autres…
aux mépris des autres,
et du partage et respect des ressources,
pour ses contemporains et leurs prochains.

De la seule bonté,
bonne initiative,
naquit alors la facile malveillance,
auquel les âmes…
et non esprits…
saisissez la nuance…
les plus faibles furent tentés…
Ce mal se propagea ainsi rapidement,
sans cesse plus virulent et contagieux,
tant le sentiment d’injustice croit en même temps,
permettant la corruption de personnages,
pourtant relativement bien enracinés,
aux bons principes de la vie respectueuse de soi et d’autrui.

De l’indignation,
fuit le bonheur,
communicatif…

De la peine et la souffrance,
viennent d’autres peines et souffrances,
tant est que nous sommes humains…
Des âmes fortes se rebellèrent contre cela,
mais le mal en l’âme humaine est toujours là quelque part,
et ne peut être anéanti.
Il en restera toujours des bribes qui risque d’amorcer,
de nouvelles contagions, de nouvelles souffrances…

Stupide est l’avarice, d’autant plus que l’on vis dans l’opulence.
Stupide est l’orgueil d’autant plus que l’on peut vivre heureux.

Dommage est la paresse d’autant que notre corps,
alimenté par un esprit sain et volontaire,
peut nous apporter énormément d’énergie.

Affaire de conscience
Tout est affaire de conscience…
Éveiller les consciences du plus grand monde est primordial,
pour éviter toutes ces erreurs que l’humanité,
a connu, connais et connaîtra encore…

Es ce là un conte hallucinatoire…

Votre conscience vous le dira peut-être…

Quant au degré d’interprétation,
seule cette même conscience pourra vous le dicter,
vous en êtes libres.

Au plaisir partagé.

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