L’ intelligence

L’ intelligence

Au sein de la société humaine, les postes, les activités,
les places, … des humains sont très diversifiées et
attribuées en général (huh ?!) en fonction des compétences
de chacun.
Hors, il y a de grande variétés entre les postes.
Tandis que l’un sera ouvrier à la chaîne, l’autre sera
camionneur, un autre chef cuistot, un autre guichetier
dans une banque, un autre ingénieur en mécanique, un
autre effectuera une thèse sur le pourquoi et la place du
jeu de rôle dans notre société, encore un autre sera
portier, un autre technicien thermicien, …
Qu’est qui différencie toutes ces personnes ?
L’intelligence ??
Et qu’est ce que l’intelligence ?
L’intelligence est à mon avis pas toujours très bien
interprété.
Selon moi, l’intelligence est directement liée à l’éveil
d’une personne, son éveil au monde en général ou plus
particulièrement au(x) domaine(s) dans lesquels il se
débrouille le mieux.
Je suis de ceux qui pense et qui puis affirmer que la plus
grande majorité des gens (humains) ont les moyens
intellectuels au sens de cognitifs, pour maîtriser la plus
grande majorité des activités / compétences.
La clef seule est l’éveil, soit dans le même ordre d’idée
l’intérêt ou la motivation.
Le point de vue physico-matériel est le cerveau, les
réseaux et capacités de communication et activation des
réseaux neuronaux. Après, je ne suis pas spécialiste des
cellules grises, du cervelet, du cortex pre-frontal,…
Quoi qu’il en soit, le cerveau et Cie sont des muscles
tout comme nos biceps, triceps,…
Plus ont les faits travailler plus il sont performants
(mémoire accrue, facilité cognitive (enchaînement de
raisonnement), endurance cérébrale, …).
Pour moi, quasiment tous les humains sont pratiquement
égaux vis à vis de leur potentiel intellectuel.
Seulement, comme je l’ai dit, autant on peut faire
travailler l’ensemble des muscles de notre corps pour
gagner en force, constitution, endurance, agilité, …
autant on peut faire fonctionner le muscle qu’est le
cerveau pour obtenir l’intelligence dans le sens que je
précisais 2 lignes plus haut.
Mais pour cela, il faut encore qu’on ait intérêt à vouloir
penser, à vouloir cogiter dans les domaines (général ou
spécialisation). Cet intérêt, cet éveil se fait
essentiellement suivant notre entourage, suivant la
conjoncture.
Prenons pour ‘caricature’ un habitant des pays pauvres qui
soit embauché / exploité par une grande compagnie qui le
fait travailler lui, ainsi que tous ceux qu’il côtoie, à la
chaîne (à coudre, monter des pièces d’objets mécaniques à
la main, ou je ne sais quel autre travail
humainement ‘intellectuellement’ dégradant).
Cet habitant, né dans ce pays aura toujours vécu dans un
entourage très pauvre, sa famille est ses amis sont pauvres
depuis plusieurs générations, le pays et/ou eux même n’ont
pas les moyens étant donné les circonstances (culture
politico-socio-economico-religieuse de leur pays, …)
d’étudier, d’apprendre, de s’éveiller à différentes
matières, à différents domaines, à différents points de
vue, à différences possibilités de vie.
Dans ces conditions, l’enfant n’aura que très peu de
probabilité de s’ouvrir à de plus hautes et plus nombreuses
possibilités de vie, la conjoncture ne lui en, offrant pas
les moyens.
Il faut des facteurs déclencheurs.
Il y a bien sur des êtres humains plus éveilles / créatifs
que d’autres qui pourront toujours éventuellement évoluer
davantage que les autres d’un point de vue intelligence /
connaissance / ouverture d’esprit.
Ce type d’éveil est rare. Est-il un don propre à l’esprit /
conscience de l’être qui naîtrait / serait incarné
(huh ?!) supérieur à la moyenne ?
Je ne sais pas trop. Je pense que cela doit exister, mais
dans une mesure des plus moindre.
Le facteur prédominant dans la probabilité et la
quantification/qualification de l’éveil reste l’éducation
au sens large du terme, l’expérience de la vie, cet
expérience qui est différente et propre à tous les humains
pris séparément (ne serait ce que peu).
Hors cet expérience va dépendre énormément des conditions et du lieu de
naissance de l’enfant humain (pour commencer).
En ceci, tous les humains ne disposent pas des mêmes
chances de développement de ler potentiel intellectuel
natif qui pourtant ne varie généralement que très peu d’un
individu à l’autre comme je l’expliquais plus haut.

Si certaines personnes ont un niveau de vie bassement
éveillé, un art de vivre peu évolué, … toute leur vie
c’est que les circonstances de leur de vie ne leur ont pas
été ‘favorables’ (attention, je ne dis pas qu’on ne peut
vivre simplement tout en vivant heureux (le bonheur étant
l’essentiel dans une vie)) : il n’ont plus la motivation
morale/psychologique pour se donner la peine d’évoluer :
cerveau pas habitué ? Non, … ->facteur insignifiant.
C’est avant tout d’un blocage psychologique qu’il s’agit.
Bien des personnes sont  » »limitées »’ intellectuellement
par un stupide mais tenace blocage psychologique.

Etre fort psychologiquement (moyens et circonstances favorables) est une chance.

Toutefois, consolons nous des cette inégalité de
conjoncture en se disant que le bonheur n’est pas forcément
(et c’est même souvent pas du tout le cas) proportionnel /
lié l’intellect au sens qui vient d’être développé.

Je ne sais si cela correspond à votre vision des choses, ni si j’ai bien réussi à exprimer ce que je pensais, mais j’aimerais assez que vous me donniez votre point de vue sur la question… votre manière d’appréhender cette notion d »éveil’
par rapport au terme commun et employé à tout va d’intelligence…

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