De la lumière de l’espoir en l’amour,
Même si vacillante et tremblotante,
Je suis passé aux ténèbres pourpres,
Plongé dans dans le vide,
Cœur et âme déchiré…
Respectueuse et si merveilleuse,
Après avoir coupé coup à tous mes espoirs,
Elle m’a expliqué et toujours respecté,
Elle a su sauver mon âme…
Mais mon coeur souffre,
Je ne comprends pas,
Je n’ose comprendre,
Tant de gâchis,
Tant de peine.
L’étau de la rupture était bien visible,
La frontière de l’amitié à l’amour non encore franchie,
La voyant Elle si merveilleuse,
Etant moi si amoureux
J’ai franchi cette frontière,
Je lui dit tout mon amour…
Mais cette frontière s’est éloigné avec elle,
Et l’étau s’est refermé sur moi.
Je suis écrasé,
Plongé dans la douleur glaciale,
Du métal et du néant.
Larmes de sang,
Sans plus de sens,
Mon esprit erre à toute choses de manière chaotique,
Perdu,
S’efforçant de survivre à l’amertume,
S’efforçant de ne penser aux regrets…
Sur une barque qui prend l’eau,
Une eau noire et glacée,
Seul au beau milieu de nulle part,
Je vogue au gré du courant,
Qui m’emporte tourbillonnant.
J’en appelle aux anges,
J’ai besoin d’être sauvé…
Une seule autre alternative,
A moi si je reste seul,
Se présente alors.
Devenir haine et destruction,
Ne faire qu’un avec cette vaste étendue,
De liquide indifférent et mauvais…
Je ne pourrais prendre cette voie.
Telle n’est pas ma nature.
Ma nature et romantique et passionnée,
Par cette perte m’accule inexorablement,
Vers la mélancolie et une peine immense.
Je vous en prie,
Anges de l’espoir,
Venez à moi,
Aidez moi.
(ancien texte remis à jour car corrigé de qques fautes)