Propositions de conseils d’éducation parentale
Quelques conseils pour bien élever votre enfant dans la perspective de votre et de son bonheur.
Dans un 1er temps, je pense que l’éducation doit être fonction de l’âge de l’enfant, ainsi :
Les 1ers mois, le nouveau né s’éveille au monde qui l’entoure. De nombreux jeux de découverte des formes (2D et 3D), couleurs, sons, surface (au touché), odeurs… existent dans le marché et permettront à votre enfant de vite apprendre à se servir de ces 5 sens et de se constituer un petit aperçu de l’aspect primaire de nombre de choses dans la vie qui l’attend.
Il se constitue en quelque sorte un dictionnaire d’attribution de de souvenir au formes, odeurs, touchers… raison pour laquelle il peut être intéressant de lui donner des noms correspondant aux formes, couleurs,… alors même qu’il les découvre.
Les propos du style papa, maman, agaga, goujigouji,… ne sont certes pas les plus enrichissants mais ils toutefois est bon pour lui de distinguer très tôt les sons qu’un humain peut produire afin de s’entraîner très tôt aux automatismes du langage (prémices de l’apprentissage de la parole).
Cela ne prendra qu’ 1 ou 2 ans au plus avant que les jouets classiques ainsi que ce qu’il pourra trouver à la maison ne le lasse. Emmener le alors faire promenade dehors dans des endroits variés mais de grande préférence pas morne, triste, trop sale ni violent.
Les enfants sont à cet age là très sensibles psychologiquement à ce qu’ils apprennent du monde.
Un événement inhabituel/choquant les marquera bien + qu’un enfant d’age plus avancé.
Il faut savoir que plus un être humain est jeune, plus il aura de facilités pour se concentrer, comprendre, retenir, assimiler des informations.
Bien entendu, il faudra toujours respecter l’apprentissages des bases avant les connaissances avancées quelque soit les domaines, mais en matière d’aptitude à la concentration intellectuelle, les jeunes cerveaux éprouvent nettement moins de difficultés que les nôtres :
on peut voir ça (notre ‘cerveau’) comme un disque dur défragmenté à la naissance permettant alors un accès très rapide, puis de + en + lent au fur et à mesure qu’on y ajoute des données.
Argh… j’en vois qui grincent de dents… 😉
Toujours suivant le même schéma, dès que l’on rencontre des informations qui se contredisent et qu’on en est conscient, ça donne lieu à des conflits entre ‘fichiers’ de données ralentissant encore les accès et entraînant bien souvent d’autre conflits sous-jacents.
Bien entendu, plus on évolue/grandit, plus on se rend compte de nombre de choses contradictoires/illogiques ce qui nous perturbe et donne souvent lieu à un blocage psychologique.
Le nouveau né n’a encore aucun conflit particulier qui le trouble psychologiquement : il peut accumuler très facilement une quantité impressionnante de connaissances simples sans réelles difficultés (car ces difficultés sont souvent liés à la psychologie de la personne et non à ces capacités intellectuelles intrinsèques (suivant l’image fausse ‘cerveau’=muscle SANS conscience)).
Je passe outre les difficultés de distinction conscience/moral/psychologie/âme/cerveau… que je développerai plutôt sur ma page principale de réflexions philosophiques perso.
Mais revenons à nos moutons… euh …. enfants… 😉
Nos enfants de bas age mettront un certain temps à commencer à juger le ‘bon du mauvais’, c’est pourquoi nous devons être leurs guides responsables pendant qques années avant qu’ils ne développent un minimum leur personnalité propre qui va évoluer tout au fil de leur vie suivant leur entourage et leur prédispositions, et dont les 1ères années de vie auront eu et auront toujours tout au long de leur existence une grande influence.
Voici quelques conseils que je donnerais pour les enfants de 2-3 ans à 10 ans :
à suivre