Histoire interactive

Laissez moi vous conter une histoire, ou du moins…

Laissez NOUS conter une histoire…

Laissez VOUS y prendre part đź™‚

Car je ne ferai que l’amorcer et y participer par passages/commentaires ultĂ©rieurs…

Ce conte, cette histoire, j’aimerais que ce soit la nĂ´tre,

Moi et Vous qui me faites le plaisir de vous balader rĂ©gulièrement aux grĂ© des articles de mon joueb đź™‚

Les commentaires seront le corps du message, cet article n’en fixant que le principe pratique et l’introduction.

Vous ĂŞtes libres đź™‚

Si vous avez des commentaires hors jeu / histoire,
il y a un autre article prévu à cet effet dans la rubrique jeu de rôle.

Appliquez vous un minimum Ă  l’histoire, sinon…
Gare au mĂ©chant modĂ©rateur correcteur voir .. Ă©Ă©Ă©Ă©Ă©limina-TEUR !

Notre histoire donc…

Il Ă©tait une fois il y a bien longtemps de cela, un petit royaume bien isolĂ©, installĂ© au beau milieu de terres qui ne laissaient pousser que quelques rares mauvaises herbes et un seul et mĂŞme genre d’arbre fin, et sinueux aux feuilles frĂŞles et Ă©corchĂ©es.

Ce royaume Ă©tait isolĂ© du reste du monde tant la terre aux alentours en ces rĂ©gions n’Ă©tait fertile.

A perte de vue, on n’y voyait que cela…

Des arbres mourants, une terre cendreuse, des herbes folles qui poussaient par rares endroits de manière chaotique. Un spectacle de désolation en sommes.

Mais ! Au beau milieu de ces terres maudites, il Ă©tait un royaume isolĂ©.

Un royaume… ou plutĂ´t… une vaste ville fortifiĂ©e, construite sur une montagne… un cratère de volcan mĂŞme !

Au milieu de ce cratère Ă©tait un lac, un lac dont l’eau Ă©tait d’une puretĂ© quasi divine.

Cette eau permettait Ă  elle seule, par ses propriĂ©tĂ©s, l’Ă©panouissement du royaume, de cette vaste ville.

De cette ville… On ne compte plus, et ce depuis bien longtemps, les gĂ©nĂ©rations humaines qui s’y soient succèdĂ©es. On a certes de vagues idĂ©es très disputĂ©es quant Ă  la lĂ©gitimitĂ© des familles soit disant fondatrices de ce royaume. mais… en parler n’amène souvent que discorde et jalousie parmi les habitants d’ordinaire plutĂ´t paisibles de cette citĂ©e.

Pendant toutes ces gĂ©nĂ©rations jusqu’alors, un petit village au dĂ©part, Ă©tait devenu petite ville,

puis de jour en jour, la ville grandit, jusqu’Ă  couvrir l’ensemble du cratère.

A partir de là, la place commença à manquer.

Dans le cratère de ce volcan, la population Ă©tait Ă  l’abri des vents de cendres et des pluies acides, installĂ©e sur ce cratère de roche, roche recouverte d’une très profonde terre des plus fertile.

Au centre de ce cratère, un petit lac, un Ă©tang pourrait on peut dire, s’Ă©tendait de manière quasi circulaire, sur près d’une lieu de diamètre.

Un petit lac dont l’eau brillait d’une clartĂ© surnaturelle, une clartĂ© rassurante, bienfaitrice.

La proximité de cette eau et le fait de la boire soignait les maux, les maladies et ralentissait la vieillesse.

Les gĂ©nĂ©rations d’habitants de ce royaume se succĂ©daient donc au point que le roi instaura deux lois :

– La consommation de l’Eau devait ĂŞtre rationnĂ©e Ă  un demi litre quotidien par habitant, toutes utilisations comprises.

– Chaque couple n’avait le droit qu’Ă  un enfant sauf dĂ©rogation royale attribuĂ©e qu’en de rares occasions.

Cette Eau comblait la soif beaucoup plus efficacement que n’importe quel autre liquide.
Les cultures certes fertiles sur ces terres prenaient de la place dans cette ville.
Les générations se développant, les habitations se voyaient progressivement solidifiées et affublées de nouveaux étages pour accueillir tout le monde.

Laisser un commentaire

%d blogueurs aiment cette page :