Il est une vallée vaste et jonchée de ruines et de cadavres,
une vallée dont la désolation …
Du chaos nait le renouveau,
De la vie, un destin, aboutit à la mort,
De l’union physique de 2 êtres,
Chacun de nous voit le jour.
Le jour fait place à la nuit,
Souvent de manière bien inégale parmi les individus.
Tant de fois des sentiments ont été négligés,
Tant de fois des valeurs ont été bafouées,
Tant de fois des efforts ont été néfligés,
Tant de fois des hommes valables ont été ignoré,
Tant de fois des minables ont eu démesuré beau rôle,
Au détriment d’autres bien plus méritants
Certes des injustices…
Mais…
Es ce là raison pour renier ce don qu’est l’existence…
Un espace vide,
une conscience.
Une énergie,
une existence appréhendée.
De la conscience la matière.
Matière à penser,
matière physique.
Une roue,
des dents,
un axe,
un sens,
une direction,
un mouvement,
une rotation.
D’une roue,
d’autres apparaissent,
d’autres rouages,
d’autres consciences,
un système mécanique…
un système existant,
un système qui est,
et par son activité,
à pris un sens,
que l’ensemble du rouage caractérise.
Tel l’humanité…
Au sein de l’infinie mosaïque …
Humain,
simple abacule,
Au sein du mécanisme,
Etre vivant,
simple rouage…
Le sens est défini par une conscience,
supérieure ou … inférieure,
fruit de bribes de consciences,
faiblesses et forces.
Suivant le point de vue,
Suivant la conscience et son état propre,
les rouages changent de sens
les abacules de formes et de couleurs…
Illusion, tromperie, réalité ou …
autre réalité dont le sens,
pour un potentiel esprit supérieur…
n’en aurait en fait pas ?
Les sentiments ont ils un finalité ?
Les actions de l’homme,
ont elle une finalité,
qui tout au final,
sur autre chose que le néant aboutisse ?
Quel est l’intérêt de cette vie ?
A priori…
Y trouver le bonheur,
partager et diffuser ce bonheur,
l’entretenir pour ses suivants…
La connaissance ?
Accumuler la connaissance et les technologies…
Dans quel but ?
L’intelligence ?
La travailler…
Dans quel but ?
S’efforcer d’évoluer dans la voie de la conscience supérieure ?
Les sentiments ?
Dans quel but ?
Justement d’être des êtres vivants,
imprévisibles,
facteurs de création,
justifiant sa différence avec le néant…
Car quel intérêt y a t-il au néant ?
Par définition…
aucun…
Et quel intérêt y a t-il à la seule matière inerte,
un univers tangible et bien réel…
mais… au yeux de qui ?
A l’appréciation de quelle conscience ?
L’intérêt de notre existence à ce sens,
que par opposition,
le néant n’en a pas,
et que ce qui est,
doit être considéré par une conscience,
pour être vraiment,
sans quoi nul ne saurait…
ce qui serait alors un retour au néant…
Un néant sans intérêt dans l’absolu,
car sans existence…
Pourquoi une seule conscience…
c’eut été un seul jugement une interaction de soi avec soi et pour soi…
L’intérêt…
Outre la connaissance de l’existence de soi et de quelque chose…
Reste limité…
L’intérêt de l’existence s’accroit avec le nombre de consciences de ce monde,
le nombre de consciences qui peuvent agir et interagir sur ce monde,
créer, dans un sens forcément…
Le chos n’existe pas…
On ne peut que plus ou moins tendre vers lui, mais en aucun cas l’atteindre.
Il n’a pas de sens…
Profitons de cette chance qui nous a été donné d’exister,
pour être heureux,
et contribuer au mieux de nos moyens et de notre conscience,
à ce que les autres le soit.
Dans les sentiments les plus pénibles,
comme les plus heureux,
aidons nous,
aprécions nous,
considérons nous,
vivons ensemble,
non seulement pour soi,
mais pour d’autres,
idéalement pour tous…
Nous simples abacules…
Rouages d’un immense mécanisme qui nous entraine,
par ces lois physiques, sociales, ancestrales et actuelles.
Chacun de nous a liberté de modifier,
abacule :
sa forme,
son aspect,
sa couleur,
sa position,
et tous autres facteurs,
que notre conscience puisse envisager, appréhender.
rouage, son diamètre sa forme, son sens, sa vitesse,…
et tous autres facteurs,
que notre conscience puisse envisager, appréhender.
Vivons,
et vivons bien,
bons, conscients et respectueux d’autrui.